RomansLivres de poche Le jour où je me suis aimé pour de vrai Meilleure vente Le jour où je me suis aimé pour de vrai Serge Marquis (Auteur) Descriptif détaillé Le jour où je me suis aimé pour de vrai 7 ,60€ indisponible en ligne stock en magasin Choisir un magasin Réservez en ligne & retirez sous 4h Livraison gratuite en magasin Retour en magasin
Un texte d’Alison Mc Milen que j’apprécie particulièrement. Il parle de nos blessures, de leur guérison et de la façon de vivre dans le respect de soi et des ses valeurs. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.

Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets

Chaplin, ce poème semble avoir été écrit par Kim et Alison Mc Millen en 2001. L’apprendre à nos enfants, ce serait leur inculquer des valeurs qu’ils n’auraient pas besoin de reconquérir, une fois adulte… Le coeur de Troyes est une oeuvre commune du couple d’artistes Michèle et Thierry Kayo-Houël Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Estime de Soi. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et Ma souffrance émotionnelle, N’étaient rien d’autre qu’un signal Quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, Contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Maturité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à percevoir l’abus dans Le fait de forcer une situation, ou une personne, Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Respect. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce Qui ne m’était pas salutaire… Personnes, situations, tout ce qui Baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Amour Propre. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre Et j’ai arrêté de faire de grands plans, J’ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd’hui je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De chercher à toujours avoir raison, et me suis Rendu compte de toutes les fois ou je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert… L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui je vis au présent, Là où toute la vie se passe. Aujourd’hui je vis une seule journée à la fois Et ça s’appelle….. Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris que ma tête pouvait Me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur Elle devient une alliée très précieuse Tout ceci est… Savoir Vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…. Du chaos naissent les étoiles. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… La Vie ! Lejour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans; j’ai abandonné les « méga-projets »du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et
Charlie Chaplin aurait écrit ce poème lors de son 70ième anniversaire, le 16 avril, 1959. Charlie Chaplin fut l’un des personnages les plus créatifs de l’ère du cinéma muet. Réalisateur, scénariste, producteur, monteur et compositeur de la musique de ses films. Sa carrière a duré plus de soixante-cinq ans. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Estime de Soi. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et Ma souffrance émotionnelle, N’étaient rien d’autre qu’un signal Quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….. Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, Contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Maturité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à percevoir l’abus dans Le fait de forcer une situation, ou une personne, Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment….. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Respect. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce Qui ne m’était pas salutaire…. Personnes, situations, tout ce qui Baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…. Amour Propre. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre Et j’ai arrêté de faire de grands plans, J’ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd’hui je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De chercher à toujours avoir raison, et me suis Rendu compte de toutes les fois ou je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert… L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé De revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui je vis au présent, Là où toute la vie se passe. Aujourd’hui je vis une seule journée à la fois Et ça s’appelle….. Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour vrai, J’ai compris que ma tête pouvait Me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur Elle devient une alliée très précieuse Tout ceci est…. Savoir Vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…. Du chaos naissent les étoiles. Aujourd’hui je sais que ca s’appelle… La Vie! par Simplement Francis Je suis le fondateur de ce site, une communauté multi collaborateurs ayant une portée rejoignant sur les médias sociaux des millions de personnes chaque mois.... Visiter le site web Écrire à Simplement Francis Suivez Francis M. 💙 sur les médias sociaux Cet article vous a-t-il été utile ? Partagez-le avec vos amis! Dernières publications de Francis M. 💙 Toutes les publications de Francis M. 💙 Top articles du mois Vous aimerez aussi À propos de l'article " Le jour où je me suis aimé pour de vrai ! " Publié par Francis M. 💙 dans Réflexion sur la vie le 6 mars 2015 SuiteAvis de non-responsabilité Les propos et les conseils de cette publication, incluant les produits et services offerts, sont le point de vue de son auteure, de ses croyances, de son expérience de vie et/ou professionnel. Les Mots est un magazine collaboratif d'inspirations ouvert à tous, donc, nous nous dégageons totalement de toutes responsabilités du résultat de son application. Pour toutes problématiques de santé physique et/ou psychologique, il est conseillé de choisir avec discernement et de consulter un spécialiste médecin, psychologue, services sociaux, etc. afin d’arriver à mettre l’information dans le contexte de votre réalité.
Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre dans le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la
Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle l’estime de soi. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente, et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts, et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle respect. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour-propre. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands plans. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, j’appelle ça simplicité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude. Le jour où je me suis aimé•e pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient une alliée très précieuse. » Ce texte, qui est faussement attribué à Charlie Chaplin, est en fait une traduction tronquée du très beau texte de Kim & Alison McMillen. Voilà l’original complet When I loved myself enough… When I loved myself enough I quit settling for too little. When I loved myself enough I came to know my own goodness. When I loved myself enough I began taking the gift of life seriously and gratefully. When I loved myself enough I began to know I was in the right place at the right time and I could relax. When I loved myself enough I felt compelled to slow down way down. And that has made all the difference. When I loved myself enough I bought a feather bed. When I loved myself enough I came to love being alone surrounded by silence, awed by its spell, listening to inner space. When I loved myself enough I came to see I am not special but I am unique. When I loved myself enough I redefined success and life became simple. Oh, the pleasure of that. When I loved myself enough I came to know I am worthy of knowing God directly. When I loved myself enough I began to see I didn’t have to chase after life. If I am quiet and hold still, life comes to me. When I loved myself enough I gave up the belief that life is hard. When I loved myself enough I came to see emotional pain is a signal I am operating outside truth. When I loved myself enough I let the tomboy in me swing off the rope in Jackass Canyon. Yes! When I loved myself enough I learned to meet my own needs and not call it selfish. When I loved myself enough the parts of me long-ignored, the orphans of my soul, quit vying for attention. That was the beginning of inner peace. Then I began seeing clearly. When I loved myself enough I began to see that desires of the heart do come, and I grew more patient and calm, except when I forgot. When I loved myself enough I quit ignoring or tolerating my pain. When I loved myself enough I started feeling all my feelings, not analysing them really feeling them. When I do, something amazing happens. Try it. You will see. When I loved myself enough my heart became so tender it could welcome joy and sorrow equally. When I loved myself enough I started meditating every day. This is a profound act of self-love. When I loved myself enough I came to feel like a gift to the world and I collected beautiful ribbons and bows. They still hang on my wall to remind me. When I loved myself enough I learned to ask Who in me is feeling this way?’ when I feel anxious, angry, restless or sad. If I listen patiently I discover who needs my love. When I loved myself enough I no longer needed things or people to make me feel safe. My judgement called it disloyal. Now I see it as self-loving. When I loved myself enough I gave up perfectionism that killer of joy. When I loved myself enough I could tell the-truth about my gifts and my limitations. When I loved myself enough I quit answering the telephone when I don’t want to talk. When I loved myself enough forgiving others became irrelevant. When I loved myself enough I could remember, during times of confusion, struggle or grief, that these too are part of me and deserve my love. When I loved myself enough I could allow my heart to burst wide open and take in the pain of the world. When I loved myself enough I started picking up litter on the street. When I loved myself enough I could feel God in me and see God in you. That makes us divine! Are you ready for that? When I loved myself enough I started writing about my life and views because I knew this was my right and my responsibility. When I loved myself enough I began to see my purpose and gently wean myself from distractions. When I loved myself enough I saw that what I resisted persisted like a small child tugging my skirt. Now I am curious and gentle when resistance comes tugging. When I loved myself enough I learned to stop what I am doing, if even for a moment, and comfort the part of me that is scared. When I loved myself enough I learned to say no when I want to and yes when I want to. When I loved myself enough I saw beyond right and wrong and became neutral. At first I thought this was indifference; now I see the clarity that comes with neutrality. When I loved myself enough I began to feed my hunger for solitude and revel in the inexplicable contentment that is its companion. When I loved myself enough I could see how funny life is, how funny I am and how funny you are. When I loved myself enough I recognised my courage and fear, my naivety and wisdom, and I make a place for each at my table. When I loved myself enough I started treating myself to a massage at least once a month. When I loved myself enough I realised I am never alone. When I loved myself enough I stopped fearing empty time and quit making plans. Now I do what feels right and am in step with my own rhythms. Delicious! When I loved myself enough I quit trying to impress my brother. When I loved myself enough I stopped trying to banish the critical voices from my head. Now I say, Thankyou for your views’ and they feel heard. End of discussion. When I loved myself enough I let the part of me that still misses Kent feel sad instead of trying to stop her from loving him. When I loved myself enough I began buying a hostess fruit pie for the teenager in me who loves them so. Once in a while, cherry. When I loved myself enough I quit trying to be a saviour for others. When I loved myself enough I lost my fear of speaking my truth for I have come to see how good it is. When I loved myself enough I began pouring my feelings into my journals. These loving companions speak my language. No translation needed. When I loved myself enough I stopped seeking experts’ and started living my life. When I loved myself enough I came to see how my anger teaches about responsibility and my arrogance teaches about humility, so I listen to both carefully. When I loved myself enough I started eating organically grown food except for those occasional fruit pies of course. When I loved myself enough I could be at ease with the comings and goings of judgement and despair. When I loved myself enough I was able to be treated to a $50 haircut and enjoy every minute of it. When I loved myself enough I quit having to be right which makes being wrong meaningless. When I loved myself enough I learned to grieve for the hurts in life when they happen instead of making my heart heavy from lugging them around. When I loved myself enough I forgave myself for all the times I thought I wasn’t good enough. When I loved myself enough things got real quite inside. Real nice. When I loved myself enough I began listening to the wisdom of my body. It speaks so clearly through its fatigue, sensitivities, aversions and hungers. When I loved myself enough I quit fearing my fear. When I loved myself enough I quit rehashing the past and worrying about the future – which keeps me in the present where aliveness lives. When I loved myself enough I realized my mind can torment and deceive me, but in the service of my heart it is a great and noble ally. When I loved myself enough I began to taste freedom. When I loved myself enough I found my voice and wrote this little book.

Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au

Le Docteur Serge Marquis, l’auteur canadien préféré des Français, spécialiste de la santé au travail et auteur du best-seller On est foutu, on pense trop ! », sort un nouveau livre Le jour où je me suis aimé pour de vrai », un roman qui soigne l’égo. C’est à la demande de ses patients et de ses nombreux lecteurs que Serge Marquis a décidé d’aller plus loin sur la question de l’égo en publiant ce premier roman. Un livre dans lequel il nous donne une magnifique leçon de vie que l’on pourrait résumer en quelques mots pas d’ego, pas de problèmes. Pas d’ego, pas de souffrances Passionnée par ses recherches sur le cancer du cerveau, Maryse s’accroche à son identité d’éminente neuropédiatre et à son désir éperdu de reconnaissance. Mais voilà que Charlot, ce fils singulier, cet enfant qui l’émerveille et l’exaspère à la fois, la plonge dans des questionnements inconfortables, la pousse dans ses derniers retranchements. C’est que Charlot, neuf ans, est confronté à des questions philosophiques et existentielles étonnantes Quel sens donner à sa vie lorsqu’on est atteint d’une maladie incurable ? Comment résister à l’intimidation, la bêtise, la peur de l’autre ? Et surtout, qu’est ce que l’ego, cette chose dont tout le monde semble souffrir ? Pour l’accompagner dans cette quête, la mal-nommée Maryse du Bonheur, sa mère, devra se délester de son autosatisfaction, se dépouiller de ses certitudes et apprendre à s’aimer pour de vrai ». La genèse de l’ouvrage Le jour où je me suis aimé pour de vrai Tout est parti d’une histoire qui m’avait été racontée par un ami. Un moine bouddhiste donne une conférence. Lors de la pause, un spectateur trouve le moine, qui est pourtant un maître », en train de sangloter. Le spectateur est étonné et lui demande – Que vous arrive-t-il ? Il répond – Comment pourrais-je leur expliquer quelque chose d’aussi simple pas d’ego, pas de problèmes. Pas d’ego, pas de souffrances. Quand j’ai entendu cette anecdote, je me suis dit elle est là, la clé ! C’est cela qu’il faut explorer comprendre d’où vient l’ego, comment il se structure. Parce qu’il est sûrement à l’origine d’une grande partie de la souffrance inutile qu’on inflige à soi-même et aux autres. Quand on est dans les bouchons par exemple, et qu’on insulte les autres conducteurs – Oh l’imbécile ! » Ou quand on se triture l’esprit – pourquoi est-ce toujours à moi que cela arrive ? Qu’est-ce que j’ai fait ? » Il y a des souffrances évitables. Alors, j’ai creusé la question de l’ego. J’ai écrit On est foutu, on pense trop. Mais, après la publication, j’ai reçu beaucoup de messages, de lettres où de nombreuses interrogations persistaient. Je me suis dit, il faut aller plus loin. Et c’est à ce moment-là, que j’ai décidé d’écrire un roman Le jour où je me suis aimé pour de vrai. » Serge Marquis Extrait Le jour où je me suis aimé pour de vrai Je me présente Maryse du Bonheur. Ce nom de famille m’a évidemment valu des tas de moqueries au cours de ma vie, des blagues de mauvais goût du genre Une chance que tu n’aies pas été prénommée Reine, Rose ou Aimée. » On me dit souvent que ce nom ne peut pas vraiment exister. Que je l’ai inventé pour me rendre intéressante ; pour me donner une chance d’y croire, je veux dire au bonheur. Pourtant, ce nom provient du Nord de la France. Une toute petite bande de terre située le long de la frontière belge. Et je suis une authentique du Bonheur », je vous assure. Nous sommes peu à porter ce nom, en fait nous sommes en voie de disparition. Il n’y a aucune nouvelle branche à l’arbre de la famille. Charlot en sera peut être le dernier fruit. Je suis médecin-neurologue – neuropédiatre, pour être plus précise –, sur-spécialisée en traitement du cancer. […] Je rêvais d’être vue et entendue. Par toutes et par tous. Et partout. Je voulais devenir le plus grand médecin de ma spécialité. J’avais le goût de servir » les enfants malades, bien sûr, mais, au-delà de tout le reste, j’aimais que cela se sache. Il y a eu interruption du rêve, explosion en vol de mes fantasmes avec l’arrivée de Charlot dans mon ventre. Une arrivée pourtant désirée, attendue ; un enfant issu de l’amour avec un clown, un vrai clown. Le nez, les sifflets, les ballons et toute la quincaillerie qui provoque les éclats de rires ; avec lui, j’ai pensé que j’allais rire le reste de ma vie. Mais il m’a fait la plus grande farce qu’un clown puisse faire il a disparu. Il s’est évaporé avant que le bébé ne vienne au monde. Mon corps ne faisait plus l’affaire, surtout le ventre. Je me suis retrouvée seule avec Charlot. Et la garderie, et l’école, et la carrière. Une histoire ordinaire. Tellement ordinaire… Et puis Charlot s’est mis à m’interroger… Il m’a fait voir tout ce que mon besoin d’être supérieure m’empêchait de reconnaître et de vivre. […] Quand j’ai enfin réalisé que j’étais incapable de lui répondre correctement, mes certitudes ont craqué. La grande Maryse du Bonheur a commencé à rétrécir. » Le jour où je me suis aimé pour de vrai, Serge Marquis – La Martinière € Lejour où je me suis aimé pour de vrai. par Serge Marquis. Partagez votre avis Finalisez votre critique. Faites part de votre avis aux autres lecteurs en notant ce livre et en laissant un commentaire. Notez-le * Vous l'avez évalué * 0. 1 étoile - Je l'ai détesté 2 Étoiles - Je ne l'ai pas aimé 3 Étoiles - J'ai moyennement aimé 4 Étoiles - J'ai aimé 5 Étoiles - J'ai adoré. N
"Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Amour Propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans , j'ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert l'Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s'appelle Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir , mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux." 70° anniversaire de Charlie Chaplin Alex !!!

Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai

Dans ce poème de Charlie Chaplin signé d’une douce plume authentique, on y découvre la noble vision d’un artiste qui a su marquer les générations par son humour et ses célèbres films muets. Un concentré inspirant de belles valeurs, qui nous prouve une fois encore que notre authenticité et notre propre estime s’affinent tout au long de notre vie. Des valeurs précieuses qui font que chacun pourra, au fil de ses expériences gagner en maturité pour y trouver enfin cette sérénité et cette sagesse tant recherchées. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente, et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts, et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour-propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands plans. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, j’appelle ça simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient un allié très précieux. Poème de Charlie Chaplin
Lejour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment Aujourd’hui, je sais que cela s’appellele Respect. Le jour Annonce Votre navigateur ne supporte pas la balise HTML5 video. Vous l’avez probablement déjà lu, ce magnifique poème de Kim et Alison Mc Millen de 2001 intitulé Le jour où je me suis aimé pour de vrai » Déjà célèbre et promise à une carrière plus grande encore, sa silhouette est reconnaissable entre toutes et devint rapidement une icône; l’icône emblématique de l’art dramatique. Enfant de la scene Le 16 avril 1889, Charles Spencer Chaplin naît dans un foyer miséreux de Londres. Le père est la plupart du temps absent du foyer et sa mère, qui a mille peines à joindre les deux bouts, sera internée en hôpital psychiatrique, alors qu’il n’a tout juste que 14 ans. Cependant, Charles est un enfant de la balle Hannah sa mère, était artiste de music-hall qui avait du mal à vivre de son art et son père, Charles Sr., chanteur populaire…souffrant de problèmes d’alcohol. Annonce Le dernier film réalisé et interprété par Charlie Chaplin avec le costume de Charlot est aussi son premier réalisé en parlant’. Le Dictateur » sortit en 1940, alors qu’Hitler venait de déclencher la Seconde guerre mondiale et occupait la France. Voici un poème remarquable Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais à la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que cela s’appelle … l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnellen’étaient rien d’autre qu’un signallorsque je vais à l’encontre de mes je sais que cela s’appelle … l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de vouloir une vie différenteet j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrivecontribue à ma croissance je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à percevoir l’abusdans le fait de forcer une situation ou une personne,dans le seul but d’obtenir ce que je veux,sachant très bien que ni la personne ni moi-mêmene sommes prêts et que ce n’est pas le moment…Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon début, ma raison appelait cela de l’ je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Annonce Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé d’avoir peur du temps libreet j’ai arrêté de faire de grands plans,j’ai abandonné les méga-projets du je fais ce qui est correct, ce que j’aimequand cela me plaît et à mon je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’ je vis au présent, là où toute la vie se je vis une seule journée à la cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon cœur,elle devient une alliée très précieuse !Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous chaos naissent des étoiles. * * * * * * * LES BONS MOTS FONT LES BONS AMIS Dites-nous ce que vous pensez de ce poème… Ce poème a été attribué à tort à Charlie Chaplin, car il l’aurait récité lors d’un de ses anniversaires. En fait il a été écrit par Kim McMillen, une femme, écrivain, et sa fille l’a publié en 2001. Annonce Voir plus Article précédent CONFIANCE – SOLIDARITÉ – GRATITUDE – AMOUR Article suivant Le don du libre arbitre accordé à chaque âme Clément a toujours été très empathique et possède de grandes capacités d'écoute, lorsque les gens ont besoin de conseils dans leurs relations, c'est toujours vers lui qu'ils se tournent.
Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon endroit. Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Estime de soi. - Une citation de Charlie Chaplin . Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon endroit. Et, alors, j'ai
Le jour où je me suis aimé pour de vrai…. Kim Mc Killen texte rendu célèbre par Charlie Chaplin, qui l’a lu pour son 70ème anniversaire Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… L’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… L’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… La Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… Le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… L’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre Et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plaît et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… La Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois et cela s’appelle… La Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… Le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… La Vie ! V67C1c.
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