2) ALORS QUE la contradiction de motifs Ă©quivaut Ă  un dĂ©faut de motifs ; qu'en relevant que la somme de 35 000 rĂ©clamĂ©e au titre des frais de gestion n'Ă©tait absolument « pas justifiĂ©e » et, en mĂȘme temps, que sa « justification » relevait de l'article 700 du Code de procĂ©dure civile, la Cour d'appel, qui a tout Ă  la fois
Skip to content ApprocheFormationSupervisionCollectifIndividuelA proposArticlesContact Le tout est plus que la somme des parties Le tout est plus que la somme des partiesPremier Principe SystĂ©miqueQuand je dis cette phrase au cours de mes formations Ă  l’approche de Palo Alto, elle est souvent connue de mes stagiaires mais
qu’entend-on vraiment par-lĂ  ?
 Avec quelques d’indications, j’espĂšre vous Ă©clairer davantage. Ce principe systĂ©mique est essentiel dans l’approche de Palo Alto. D’un point de vue interactionnel, tout ce qui se passe entre les individus est considĂ©rĂ© comme un systĂšme. Ainsi lorsqu’une difficultĂ© de management survient dans une Ă©quipe, cette approche va analyser la situation au travers des modĂšles pattern d’interactions qui y ont lieu. Elle prend ainsi en compte la dynamique des interactions rĂ©currentes dans le systĂšme Ă  considĂ©rer. Quand tout fonctionne, ce qui est le cas dans le principe Ă©noncĂ© en titre, c’est la mĂȘme chose. Nous prenons en compte l’ensemble du systĂšme, soit le tout ». Cet ensemble comprend certes des parties diffĂ©rentes, mais Ă©galement ce qu’il y a entre les parties, soit les interactions et les retombĂ©es de ces interactions. Et c’est lĂ  que nous dĂ©passons la simple notion d’addition la somme » car ces interactions crĂ©ent une organisation spĂ©cifique. Ce systĂšme, cette organisation, permet alors de faire apparaitre des qualitĂ©s qui ne s’expriment pas quand les parties sont seules. Au final, ensemble, les parties en interaction crĂ©ent des qualitĂ©s, des propriĂ©tĂ©s qui n’existent pas au sein des parties elles-mĂȘmes. En cas de problĂšmes relationnels, ces notions interviennent Ă©galement. Les parties en prĂ©sence crĂ©ent un tout » qui ne fonctionne pas, qui brule son Ă©nergie, qui ne coopĂšre plus. Prendre chaque partie individuellement ne rĂ©soudra pas le problĂšme. L’approche systĂ©mique va au contraire travailler Ă  comprendre le problĂšme comme rĂ©sultant des interactions Ă  l’Ɠuvre. Puis elle va dĂ©nouer les fonctionnements en vue de rĂ©organiser les actions, les interactions. Remettre en place des interactions inhabituelles permet ainsi d’obtenir de nouvelles qualitĂ©s Ă©mergentes qui ne soient plus problĂ©matiques. Notre expĂ©rience nous montre, Ă  chacune de nos interventions qu’il est beaucoup plus facile de changer les interactions entre les parties que les parties elle-mĂȘme. En d’autres termes, nous agissons plus facilement sur les relations entre les personnes que de tenter de modifier des caractĂšres ou des personnalitĂ©s. A bientĂŽt pour un autre sujet autour de l’approche systĂ©mique. Olivier Millet2022-06-01T220324+0200 Partager cet article Related Posts Page load link Privacy Overview This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience. Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information. Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website. Go to Top
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Doch ist das Ganze gerade hier mehr als die blosse Summe der einzelnen Teile! Le cœur scientifique de l'IET rĂ©sidera dans ses activitĂ©s [...] d'Ă©ducation, de recherche et d'innovation et dans son aptitude [...] Ă  rassembler les contributions des diffĂ©rents partenaires en une structure unique, un tout plus grand que la somme de ses parties. Die wissenschaftliche Kernaufgabe des ETI wird in der Arbeit in den Bereichen Ausbildung, Forschung und [...] Innovation und in der FĂ€higkeit liegen, BeitrĂ€ge [...] verschiedener Partner/innen zu integrieren und zu einer einheitlichen Struktur zu verschmelzen, die grĂ¶ĂŸer ist als die Summe ihrer Teile. Mais le tout est plus que la somme de ses Ă©lĂ©ments, ce n'est pas un ouvrage dĂ©cousu, mais [...]une nouvelle crĂ©ation issue du [...]pluralisme des formes et de la tradition de l'histoire de la musique et pour en fin de compte exprimer ce que les musiciens aiment et ce qui au plus profond d'eux-mĂȘmes les anime. Doch das Ganze ist mehr als die Summe seiner Teile, ist nicht StĂŒckwerk, sondern bewusste [...]Neuschöpfung aus der Formenvielfalt [...]musikgeschichtlicher Tradition - um letztlich das zum Ausdruck zu bringen, was die Musiker lieben, was im Tiefsten ihres Inneren bewegt. La puissance de notre approche [...] rĂ©side dans le fait que le tout est supĂ©rieur Ă  la somme des parties. Der Vorteil dieses [...] Ansatzes liegt darin, dass das Ganze mehr ist als die Summe seiner Teile. De notre point [...] de vue, la croissance du tout sera plus forte que la somme de ses parties, d'oĂč des dĂ©bouchĂ©s pour nos exportations [...]et des [...]opportunitĂ©s pour nos investissements. Aus unserer Sicht ist das Wachstum des Ganzen grĂ¶ĂŸer als das der Summe seiner Teile, so dass sich AbsatzmĂ€rkte [...]fĂŒr unsere Exporte und [...]Gelegenheiten fĂŒr unsere Investoren ergeben. MatiĂšres Ă  mouler thermoplastiques, qui contiennent a 20 Ă  80 parties en poids d'un polyĂ©ther phĂ©nylĂ©nique, b 1 Ă  20% en poids d'un copolymĂšre Ă  blocs de la formule gĂ©nĂ©rale A-B-A', constituĂ© de deux blocs polyvinylaromatiques A et A' et d'un bloc de caoutchouc partiellement hydrogĂ©nĂ© B, c 0 Ă  70 parties en poids d'un composĂ© polyvinylaromatique et d 0 Ă  [...] 40 parties en poids [...] d'addtifs usuels, oĂč la somme de a Ă  d est Ă©gale Ă  100 parties, en poids, caractĂ©risĂ©es en ce que les poids molĂ©culaires moyens de A et de A' se diffĂ©rencient d'un facteur de 2 Ă  20, le bloc A plus court prĂ©sente un poids [...]molĂ©culaire moyen [...]de 2000 Ă  4000 et les blocs A et A' constituent ensemble 35 Ă  50% en poids de b, 10 Ă  20% en poids des doubles liaisons existant Ă  l'origine sont prĂ©sents dans le bloc B du copolymĂšre Ă  blocs b. Thermoplastische Formmassen, enthaltend a 20 bis 80 eines Polyphenylenethers, b 1 bis 20 eines Blockcopolymeren der allgemeinen Formel A-B-A' aus zwei polyvinylaromatischen Blöcken A und A' und einem teilhydrierten Kautschukblock B, c 0 bis 70 eines Polyvinylaromaten und d 0 [...] bis 40 [...] ĂŒblicher ZusĂ€tze, wobei die Summe aus a bis d 100 ergibt, dadurch gekennzeichnet, daß die mittleren Molekulargewichte von A und A' sich um den Faktor 2 bis 20 unterscheiden, der kĂŒrzere Block A ein mittleres Molekulargewicht [...]von 2000 [...]bis 4000 aufweist und die Blöcke A und A' gemeinsam 35 bis 50 von b ausmachen. im Block B des Blockcopolymerisates b 10 bis 20 der ursprĂŒnglich vorliegenden Doppelbindungen vorhanden sind. Parce que les classes d'actifs jouent [...] des rĂŽles diffĂ©rents au sein d'un portefeuille, le tout est souvent meilleur que la somme des parties. Da die Anlageklassen in einem Portfolio verschiedene [...] Rollen spielen, ist das Ganze, d. h. das Portfolio selbst, oft mehr wert als die Summe der Einzelteile. En application du principe d'Aristote qui veut que [...] La totalitĂ© est plus que la somme des parties », il fut donc dĂ©cidĂ© de crĂ©er un rĂ©seau dont l'objectif serait de proposer aux patients la meilleure solution possible dans le domaine des implants [...]auditifs. Frei nach Aristoteles, dass das Ganze mehr als die Summe seiner Teile ist, beschloss man, ein Netzwerk zu grĂŒnden, das sich zum Ziel setzte, dem Patienten die bestmögliche Lösung im Bereich [...]Hörimplantate anzubieten. Le fait que les membres recommencent Ă  dĂ©velopper de l'Ă©nergie et de la crĂ©ativitĂ© et dĂ©couvrent une joie vĂ©ritable dans la cognition que chacun de nous est partie d'un tout plus grand que la somme de ses composants [...]est un des rĂ©sultats valables du travail d'un groupe d'entraide. Es kann ein Ergebnis der Arbeit in einer [...] Selbsthilfegruppe sein, dass die Mitglieder wieder Energie und KreativitĂ€t entwickeln und die reine Freude entdecken, die aus der Erkenntnis kommt, dass man Teil eines Ganzen ist, das grösser als die Summe seiner Teile ist. Elle repose sur l'idĂ©e [...] sous-jacente que, tout comme dans un orchestre, lorsque l'ensemble travaille Ă  l'unisson, le rĂ©sultat obtenu est Ă  coup sĂ»r supĂ©rieur Ă  celui de la somme des parties. Über 30 Jahre Erfahrung sind in die Gesamtlösung [...] eingeflossen. Die zu Grunde liegende Philosophie besagt Wie bei einem Orchester ergibt das harmonisch zusammenwirkende Ganze mehr als die Summe der einzelnen Elemente. MatĂ©riau frittĂ© Ă  base d'alumine comportant MgO selon une quantitĂ© qui n'est pas plus grande que 1 % en poids Ă  l'exclusion de 0 % en poids, CaO selon une quantitĂ© allant de 0,02 Ă  1 % en poids, SiO2 selon une quantitĂ© allant de 0,02 Ă  1 % en poids et Al2O3 selon une quantitĂ© d'au moins [...] 98 % en poids, ayant [...] un rapport de teneur en SiO2 infĂ©rieur Ă  80 parties en poids sur la base de 100 parties en poids de la somme des poids de MgO, CaO et SiO2, et une distribution cumulative de la dimension de grain Ă  50 pourcent, en diamĂštre, allant de 4 Ă  15 um, un diamĂštre Ă  90 pourcent qui n'est pas plus de trois fois le diamĂštre Ă  50 pourcent, et une porositĂ© qui n'est pas plus grande que 5 %. Sinterkörper auf der Basis von Aluminiumoxid, der MgO in einer Menge von nicht mehr als 1 ausgenommen 0 CaO in einer Menge von 0,02 bis 1 SiO2 in einer Menge von 0,02 bis 1 und Al2O3 in einer Menge von mindestens 98 [...] enthĂ€lt, einen [...] SiO2-Anteil von weniger als 80 Gewichtsteilen bezogen auf 100 Gewichtsteile der Summe des Gewichts von MgO, CaO und SiO2 hat, zu 50 Prozent eine KorngrĂ¶ĂŸensummenverteilung mit einem Durchmesser von 4 bis 15 um besitzt, zu 90 Prozent einen Durchmesser von nicht mehr als dem Dreifachen des zu 50 Prozent vorhandenen Durchmessers besitzt, und eine PorositĂ€t von nicht mehr als 5 % besitzt. Une fois que le propriĂ©taire et le [...] locataire parviennent Ă  [...] un accord ou que le tribunal a dĂ©cidĂ© de la somme Ă  attribuer Ă  chacune des deux parties, c'est l'administrateur [...]qui restituera la caution en consĂ©quence. Falls der Mieter und der Vermieter zu einer [...] Übereinkunft kommen oder ein Gericht festlegt, wie viel jede Seite bekommt, wird der Verwalter die Kaution entsprechend [...]auszahlen. La planification du rĂ©seau RTE-T [...] n'a pas Ă©tĂ© guidĂ©e par de vĂ©ritables objectifs [...] europĂ©ens garantissant que le tout soit supĂ©rieur Ă  la somme des parties. Die TEN-V-Netzplanung wurde nicht vom [...] ursprĂŒnglichen europĂ€ischen Ziel geleitet, d. h. [...] sicherzustellen, dass das Ganze grĂ¶ĂŸer ist als die Summe der Einzelteile. MĂȘme en admettant que certaines parties du rĂ©seau actuel puisse avoir une durĂ©e de vie plus longue, que certaines surfaces agricoles actuellement drainĂ©es ne soit plus conservĂ©es urbanisation, Ă©volution des conditions hydriques du sol, retour Ă  l'Ă©tat naturel de certaines surfaces, il apparaĂźt que la somme investie aujourd'hui pour le maintien et l'entretien [...]des ouvrages d'assainissement reste largement insuffisante Ă  long terme. Selbst wenn man [...] davon ausgeht, dass Teile des heutigen Drainagenetzes eine lĂ€ngere Lebensdauer aufweisen könnten und einige der heute drainierten landwirtschaftlichen FlĂ€chen aufgegeben werden Urbanisierung, Entwicklung des Wasserhaushalts des Bodens, RĂŒckkehr zum natĂŒrlichen Zustand gewisser FlĂ€chen, erweist sich die heute investierte Summe fĂŒr die Bewirtschaftung [...]und den Unterhalt der EntwĂ€sserungsanlagen [...]langfristig als bei weitem nicht genĂŒgend. Il indique que la plus [...] forte critique Ă  l'Ă©gard de ces stratĂ©gies est qu'elles n'Ă©taient guĂšre plus que la somme des parties qui les composaient. In Bezug auf [...] die Strategien sei hauptsĂ€chlich zu bemĂ€ngeln, dass sie nicht viel mehr darstellten als die Summe ihrer Bestandteile. DĂšs lors que, de toute Ă©vidence, la situation de force majeure doit durer au-delĂ  de trente jours ouvrĂ©s pleins, ou bien dĂšs que la situation de force majeure a durĂ© plus de trente jours ouvrĂ©s pleins, chacune des parties est autorisĂ©e Ă  rĂ©silier le contrat, pour [...]autant qu'il soit concernĂ© [...]par le cas de force majeure, par le biais d'une declaration Ă©crite adressĂ©e Ă  l'autre partie. Steht zweifelsfrei fest, daß der Umstand höherer Gewalt ĂŒber dreißig volle Werktage andauern wird, oder hat der Umstand höherer Gewalt bereits lĂ€nger als dreißig volle Werktage angedauert, steht es allen beteiligten Parteien frei, die Vereinbarung, sofern von [...]höherer Gewalt getroffen, [...]mittels einer an die andere Partei adressierten schriftlichen ErklĂ€rung aufzuheben. Suspensions de rĂ©sine de coulĂ©e consistant en A de 40 Ă  80 % en poids d'une substance de charge minĂ©rale, B de 60 Ă  20 % en poids d'un prĂ©curseur organique [...] polymĂ©rissable, contenant un ou [...] plusieurs monomĂšres et, le cas Ă©chĂ©ant, un prĂ©polymĂ©risat, et, C de 0 Ă  5 parties en poids rapportĂ© Ă  la somme de A et B d'un composĂ© organosilicitĂ© polymĂ©risable, en tant qu'agent adhĂ©sif entre la substance de charge minĂ©rale A et le prĂ©curseur organique B, caractĂ©risĂ©es en ce que la substance de charge minĂ©rale A est un mĂ©lange d'au moins deux [...]fractions de particules [...]de substance de charge de taille moyennes, diffĂ©rentes, de particules pour lesquelles le rapport des tailles moyennes des particules, entre les grandes particules et les petites particules de substance de charge, se situe entre 101 et 21 et pour lesquelles le rapport en poids des fractions des grandes et des petites particules de substance de charge, se situe entre 41 et 14. Gießharz-Suspensionen bestehend aus A 40 bis 80 eines anorganischen FĂŒllstoffs, B 60 bis 20 einer flĂŒssigen, [...] polymerisierbaren organischen [...] Vorstufe, enthaltend ein oder mehrere Monomere und gegebenenfalls ein PrĂ€polymerisat und C 0 bis 5 bezogen auf die Summe von A und B einer polymerisierbaren Organosilicium-Verbindung als Haftvermittler zwischen anorganischem FĂŒllstoff A und organischer Vorstufe B, dadurch gekennzeichnet, daß der anorganische FĂŒllstoff A ein Gemisch aus mindestens [...]zwei FĂŒllstoffteilchen-Fraktionen [...]unterschiedlicher mittlerer TeilchengrĂ¶ĂŸe ist, wobei das GrĂ¶ĂŸenverhĂ€ltnis der durchschnittlichen TeilchengrĂ¶ĂŸen der großen und der kleinen FĂŒllstoffteilchen zwischen 10 1 und 2 1 liegt und wobei das GewichtsverhĂ€ltnis der Anteile der großen und der kleinen FĂŒllstoffteilchen zwischen 4 1 und 1 4 liegt. Feuille de sĂ©curitĂ© dont au moins l'une de ses faces est revĂȘtue d'une couche comportant un liant Ă©lastomĂšre transparent ou translucide et une silice, et ayant un rendu d'impression, notamment en taille douce, [...] et une rĂ©sistance Ă  la [...] circulation Ă©levĂ©s, caractĂ©risĂ©e par le fait que ladite feuille comporte des Ă©lĂ©ments de sĂ©curitĂ© observables et que ladite couche est transparente ou translucide et qu'elle comporte - 30 Ă  50 parties en poids sec de ladite silice, ladite silice Ă©tant une silice colloĂŻdale, et- 50 Ă  70 parties en poids sec dudit liant Ă©lastomĂšre transparent ou translucide,la somme des parties de ces deux composants faisant [...]100 au total. Sicherheitsfolie, bei der mindestens eine der Seiten mit einer Schicht ĂŒberzogen ist, die ein durchsichtiges oder durchscheinendes elastomeres Bindemittel und ein Siliciumoxid umfasst, und die eine Druckansicht, insbesondere in feinem Feilenhieb, und einen hohen [...] Flusswiderstand aufweist, dadurch [...] gekennzeichnet, dass die Folie beobachtbare Sicherheitselemente umfasst, und dass die Schicht durchsichtig oder durchscheinend ist, und dass sie umfasst- 30 bis 50 Trockengewichtsanteile des Siliciumoxids, wobei das Siliciumoxid ein kolloidales Siliciumoxid ist, und- 50 bis 70 Trockengewichtsanteile des durchsichtigen oder durchscheinenden elastomeren Bindemittels, wobei die Summe der Anteile dieser beiden [...]Komponenten insgesamt 100 ausmacht. Si aujourd'hui les femmes jettent un regard critique sur [...] l'Église, on en trouvera [...] la raison dans le fait que nous sommes confrontĂ©s Ă  prĂ©sent Ă  la somme des erreurs du passĂ© qui relĂ©guaient les femmes dans des positions infĂ©rieures Ă  plus d'un Ă©gard, non seulement en Église, mais malgrĂ© tout Ă©galement en Église. Wenn heute gerade Frauen die Kirche mit kritischen Blicken betrachten, so wird man die Ursache darin begrĂŒndet sehen, daß wir gegenwĂ€rtig vor der Aufrechnung von Fehlverhalten aus frĂŒherer Zeit stehen, in der die Frauen nicht [...]nur im Raum der Kirche, [...]aber eben auch dort, in eine mehrfach untergeordnete Stellung hineingedrĂ€ngt wurden. Les nouvelles stratĂ©gies de globalitĂ© gĂ©nĂšrent une interdĂ©pendance mutuelle des Ă©conomies nationales, oĂč [...] l'intĂ©gration dans la diversitĂ© [...] fait en sorte que le tout » soit supĂ©rieur Ă  la somme des parties ; les notions [...]de responsabilitĂ© et [...]de coopĂ©ration acquiĂšrent ainsi une signification importante. Die neuen Globalisierungsstrategien schaffen eine gegenseitige AbhĂ€ngigkeit zwischen den einzelnen [...] Volkswirtschaften, wo die Integration in die [...] Vielfalt es mit sich bringt, dass das "Ganze" grĂ¶ĂŸer ist als die Summe der Teile. Il s'agit d'un motif grave notamment si le fournisseur commet une violation importante de ses obligations et s'il ne remĂ©die pas Ă  la situation [...] dans un dĂ©lai [...] raisonnable fixĂ© par le client aprĂšs rĂ©ception de la rĂ©clamation Ă©crite; ou si l'une des parties contractuelles fait l'objet d'une demande d'ouverture d'une procĂ©dure collective de liquidation des biens ou de procĂ©dure concordataire; ou si l'un des cocontractants se trouve en cessation de paiement, ou s'il est menacĂ© de l'ĂȘtre, ou s'il est en surendettement aux termes de l'article 725, paragraphe 2 du Code des obligations; ou si le cocontractant ne s'acquitte pas de son obligation de paiement des taxes et des cotisations dues au titre des assurances sociales; ou si la vente, l'exploitation de la marchandise ou de la prestation n'est pas ou n'est plus, tout ou partie, autorisĂ©e en [...]vertu de prescriptions lĂ©gales ou administratives. Ein wichtiger Grund liegt insbesondere vor, wenn der [...] Auftragnehmer eine erhebliche [...] Pflichtverletzung begeht und nicht binnen einer vom Auftraggeber gesetzten angemessenen Frist nach Zugang der schriftlichen Beanstandung Abhilfe schafft, oder - fĂŒr den jeweils anderen Vertragspartner der Antrag auf Eröffnung des eines Konkurs- oder Nachlassverfahrens gestellt wird, ZahlungsunfĂ€higkeit, drohende ZahlungsunfĂ€higkeit oder Überschuldung des Vertragspartners im Sinne von Art. 725 Abs. 2 OR vorliegt, oder wenn der Vertragspartner seiner Pflicht zur AbfĂŒhrung von Steuern oder SozialversicherungsbeitrĂ€gen nicht nachkommt, oder - der Kauf, die Verwendung der Ware oder die Leistung auf Grund gesetzlicher oder behördlicher Vorschriften ganz oder teilweise unzulĂ€ssig ist oder wird. SystĂšme pour commander l'Ă©coulement [...] de fluide Ă  travers un conduit 44 en rĂ©ponse Ă  un [...] dĂ©bit sĂ©lectionnĂ© pour fournir un Ă©coulement plus uniforme, le systĂšme comprenant un mĂ©canisme de pompage 42 agissant sur le conduit 44 pour dĂ©placer le fluide Ă  travers le conduit 44, le mĂ©canisme 42 agissant par incrĂ©ments de mouvement, chaque incrĂ©ment de mouvement ayant pour effet de faire s'Ă©couler un incrĂ©ment de volume respectif de fluide dans le conduit 44, le systĂšme Ă©tant caractĂ©risĂ© par un processeur 66 qui commande le dĂ©placement du mĂ©canisme de pompage 42 sur un certain nombre d'incrĂ©ments de mouvement pour former des groupes 80 d'incrĂ©ments de mouvement avec la somme des incrĂ©ments de volume de chaque groupe des incrĂ©ments de mouvement qui est approximativement la mĂȘme que la somme des incrĂ©ments de volume des autres groupes d'incrĂ©ments [...]de mouvement. Ein System zum Steuern des Durchflusses von [...] FlĂŒssigkeit durch einen [...] Kanal 44 als Reaktion auf eine ausgewĂ€hlte Durchflußmenge zum Bereitstellen eines einheitlicheren Durchflusses, wobei das System einen Pumpmechanismus 42 aufweist, der zum Bewegen von FlĂŒssigkeit durch den Kanal 44 auf den Kanal 44 wirkt, ferner der Mechanismus 42 in Bewegungsinkrementen wirkt, wobei jedes Bewegungsinkrement verursacht, daß ein jeweiliges FlĂŒssigkeitsvolumentinkrement in dem Kanal. 44 fließt, wobei das System gekennzeichnet ist durch einen Prozessor 66, der den Pumpmechanismus 42 zum Bewegen durch eine Anzahl von Bewegungsinkrementen ansteuert, um Gruppen 80 von Bewegungsinkrementen zu bilden, wobei die Summe der Volumeninkremente jeder Gruppe von Bewegungsinkrementen nĂ€herungsweise dieselbe wie die Summe von Volumeninkrementen [...] der anderen Gruppen von Bewegungsinkrementen ist. 2 Les principaux avantages de l'admissibilitĂ© du dĂ©pĂŽt des demandes divisionnaires rĂ©sident dans le fait qu'il permet aux demandeurs d'obtenir une protection adĂ©quate en leur permettant de surmonter des difficultĂ©s tenant l'unitĂ© de l'invention tout en conservant la date de prioritĂ© originelle pour l'ensemble du contenu inventif de la demande [...] parente; il permet aussi [...] aux demandeurs de rĂ©duire les frais initiaux de dĂ©pĂŽt; il assure aux demandeurs un maximum de flexibilitĂ©, en particulier, en ce qui concerne l'obtention d'une dĂ©livrance expĂ©ditive des revendications non controversĂ©es tout en continuant Ă  dĂ©battre des parties plus controversĂ©es de la demande; il serait aussi avantageux relativement aux licences et aux cessions que des aspects particuliers [...]d'une invention puissent [...]ĂȘtre divisĂ©es en deux demandes sĂ©parĂ©es. 2 Die Hauptvorteile des Gestattens der Einreichung von Teilanmeldungen sind, dass dies den Anmeldern gestattet, einen entsprechenden Schutz dadurch zu erlangen, dass es möglich ist, Beanstandungen bezĂŒglich der Einheitlichkeit zu ĂŒberwinden, wĂ€hrend das ursprĂŒngliche PrioritĂ€tsdatum fĂŒr den gesamten erfindungsgemĂ€ssen Inhalt der Stammanmeldung [...] erhalten wird; das macht [...] es auch fĂŒr die Anmelder möglich, anfĂ€ngliche Anmeldekosten zu sparen; es bietet den Anmeldern maximale FlexibilitĂ€t, insbesondere bezĂŒglich des Erreichens einer schnellen Erteilung von nicht strittigen AnsprĂŒchen, wĂ€hrend kontroversiellere Teile der Anmeldung fortgesetzt debattiert werden können; es ist auch in Bezug auf Lizenzierung und Übertragung ein Vorteil, dass bestimmte Aspekte einer [...]Erfindung in eigenstĂ€ndige [...]Patentanmeldungen aufgeteilt werden können. chaque R5 reprĂ©sente indĂ©pendamment un groupe monovalent choisi parmi les groupes alkyle et les groupes [...] aryle, au moins 70 % [...] des groupes R5 Ă©tant le groupe mĂ©thyle, et y est zĂ©ro ou un nombre ayant une valeur allant jusqu'Ă  1000, d un agent de rĂ©ticulation organosilicium contenant plus de deux groupes, qui vont rĂ©agir avec un hydrogĂšne liĂ© au silicium d'un polydiorganosiloxane bloquĂ© par la terminaison diorganohydrogĂ©nosiloxy selon une rĂ©action d'hydrosilation, la somme des parties en poids desdits [...]composants b + [...]c + d, lesdits polydiorganosiloxane bloquĂ© par la terminaison diorganoalcĂ©nylsiloxy, polydiorganosiloxane bloquĂ© par la terminaison diorganohydrogĂ©nosiloxy et agent de rĂ©ticulation organosilicium, reprĂ©sentant 50 Ă  35 parties en poids, et e un catalyseur d'hydrosilation en quantitĂ© suffisante pour durcir ladite composition. worin sind jedes R5 unabhĂ€ngig eine einwertige Gruppe, ausgewĂ€hlt aus Alkyl-Gruppen und [...] Aryl-Gruppen, wobei [...] mindestens 70 Prozent der R5-Gruppen Methyl sind, und y Null oder eine Zahl mit einem Wert bis zu d siliciumorganischem Vernetzungsmittel, enthaltend mehr als zwei Gruppen, die mit einem Silicium-gebundenem Wasserstoff eines Diorganohydrogensiloxy-endgeblockten Polydiorganosiloxans ĂŒber eine Hydrosilylierungsreaktion reagieren; wobei die Summe der Gewichtsteile des b [...]Diorganoalkenylsiloxy-endgeblockten [...]Polydiorganosiloxans plus des c Diorganohydrogensiloxy-endgeblockten Polydiorganosiloxans plus des d siliciumorganischen Vernetzungsmittels 50...35 Gewichtsteile betrĂ€gt; sowie e einem Hydrosilylierungs-Katalysator in einer ausreichenden Menge, um das HĂ€rten der Zusammensetzung zu bewirken. ProcĂ©dĂ© permettant de dĂ©finir une position d'un actionneur 1 d'une machine Ă  papier ou Ă  carton, la position de l'actionneur 1 Ă©tant mesurĂ©e dans le procĂ©dĂ© au moyen d'un signal de mesure 3 proportionnel Ă  la rotation d'un arbre 6 de l'actionneur 1, le signal de mesure 3 comprenant des impulsions [...] successives, dans lequel les impulsions et les [...] intervalles entre les impulsions sont divisĂ©s en parties, et la position des parties est utilisĂ©e pour dĂ©finir la position de l'actionneur 1, caractĂ©risĂ© en ce que la valeur du signal de mesure 3 est dĂ©tectĂ©e au niveau des points de comptage B1, B2 espacĂ©s les uns des autres, tout indicateur de [...]temps A entre les points de comptageB1, B2 [...]est dĂ©tectĂ©, lequel indicateur de temps A a une valeur de temps Ă  partir du moment oĂč la valeur du signal de mesure change, etla position de l'actionneur 1 Ă  dĂ©finir est une position linĂ©aire. Verfahren zum Definieren einer Position eines Aktuators 1 einer Papier- oder Pappmaschine, wobei die Position des Aktuators 1 bei dem Verfahren mittels eines Messsignals 3 gemessen wird, das proportional zu der Rotation eines Schafts 6 des Aktuators 1 ist, und wobei das Messsignal 3 aufeinanderfolgende Impulse umfasst, wobeidie Impulse und die [...] Intervalle zwischen den Impulsen in Teile aufgeteilt sind, und die Position der Teile zum Definieren der Position des Aktuators 1 verwendet werden,dadurch gekennzeichnet, dassder Wert des Messsignals 3 an voneinander beabstandeten ZĂ€hlpunkten B1, B2 erfasst wird,eine beliebige Zeitmarkierung A zwischen den ZĂ€hlpunkten B1, B2 erfasst wird, wobei die Zeitmarkierung A einen Zeitwert von dem Moment aufweist, in dem sich der Wert des Messsignals Ă€ndert, unddie zu definierende Position des Aktuators 1 eine lineare Position ist. [...] C'est le cas, tout d'abord, lorsque les documents provenant d'États membres contiennent des allĂ©gations portĂ©es contre les parties, que la Commission doit examiner, ou font partie des Ă©lĂ©ments [...]de preuve dans la procĂ©dure [...]d'enquĂȘte, de la mĂȘme façon que les documents recueillis auprĂšs de particuliers. Dies ist erstens der Fall, wenn SchriftstĂŒcke aus einem Mitgliedstaat Anschuldigungen gegen Verfahrensbeteiligte enthalten, die die Kommission prĂŒfen muss oder wenn sie - Ă€hnlich wie von privaten [...]Beteiligten erhaltene [...]SchriftstĂŒcke - Teil des Beweismaterials im Verfahren selbst sind. ProcĂ©dĂ© de rĂ©gulation automatique de la puissance d'Ă©mission dans un Ă©metteur-rĂ©cepteur appropriĂ© pour ĂȘtre utilisĂ© dans un systĂšme de tĂ©lĂ©phone Ă  accĂšs multiple par codes de rĂ©partition CDMA utilisant une diffusion de sĂ©quence directe, dans lequel un signal de point de consigne gĂ©nĂ©rĂ© pour une commande de gain automatique du rĂ©cepteur RX est utilisĂ© pour commander l'amplitude ou la puissance Po d'un [...] signal radio envoyĂ© par [...] l'Ă©metteur TX, le procĂ©dĂ© Ă©tant caractĂ©risĂ© en ce que le signal de bande de base est Ă©chantillonnĂ© pendant des pĂ©riodes d'Ă©chantillonnage Tn, Tn+1 et Tn+2 et le signal de point de consigne est dĂ©terminĂ© Ă  partir de la valeur maximale de la somme des carrĂ©s des parties rĂ©elle et imaginaire [...]I2, Q2 du signal [...]de bande de base assemblĂ© dans chaque pĂ©riode d'Ă©chantillonnage, dans lequel on fait varier la durĂ©e des pĂ©riodes d'Ă©chantillonnage en raison inverse de la vitesse de variation du niveau de puissance du signal reçu. Verfahren zur automatischen Regelung der Sendeleistung in einer Sende-/Empfangseinrichtung, die fĂŒr den Einsatz in einem CDMA-System mit Direktfolge-Verbreitung geeignet ist, wobei ein zur automatischen VerstĂ€rkerregelung des EmpfĂ€ngers RX generiertes [...] Sollwert-Signal zur Regelung der [...] Amplitude oder der Leistung Po eines vom Sender TX ausgesendeten Funksignals verwendet wird, dadurch gekennzeichnet, daß ein Basisbandsignal wĂ€hrend aufeinanderfolgender Abtastperioden Tn , Tn+1 und Tn+2 abgetastet und das Sollwert-Signal aus dem Höchstwert der Summe der zweiten Potenzen [...]der tatsĂ€chlichen und [...]imaginĂ€ren Anteile I2, Q2 des assemblierten Basisbandsignals in jeder Abtastperiode bestimmt wird, wobei die LĂ€nge der Abtastperioden umgekehrt zur Änderungsgeschwindigkeit des Leistungspegels des Empfangssignals variiert wird. LesassemblĂ©es de neurones cortico-striatales : le tout est plus que la somme des parties. 28 octobre 2021. RĂ©sultat scientifique Biologie -+ Le cortex prĂ©frontal assure des fonctions exĂ©cutives, il envoie des projections sur le striatum ventral, crucial pour la prise de dĂ©cision. Dans cet article, publiĂ© dans la revue
Le tout est plus que la somme de ses parties – Aristote Pouvez-vous amĂ©liorer tout le groupe en aidant un autre? Que ce soit par la connaissance ou la compĂ©tence, nous pouvons vous aider. Qu’est-ce que cela signifie? Également traduit par Le tout est plus grand que la partie”, cette citation parle de combien les choses sont meilleures ensemble que comme des piĂšces. L’idĂ©e est largement utilisĂ©e en Synergie et en Gestalt ainsi que dans des champs non linĂ©aires. Il est Ă©galement utilisĂ© par les personnes Ă  la recherche de quelque chose d’un peu cryptique Ă  dire pour paraĂźtre intelligent. Cette citation nous rappelle que ce que l’on peut faire, beaucoup peuvent faire mieux. Au moins dans la plupart des cas. Autrement dit, si vous prenez quelque chose qui fonctionne et retirez certaines parties, ce n’est pas aussi utile qu’il l’était. Mais en remettant cette partie, la chose est Ă  nouveau entiĂšre, et beaucoup plus utile que la pile de piĂšces qu’elle Ă©tait auparavant. Pourquoi faire partie de l’ensemble est-il important? N’importe quelle invention moderne est agrĂ©able, mais un tĂ©lĂ©phone sans Ă©lectricitĂ© n’est pas bon pour trĂšs longtemps. En termes humains, la citation est d’ĂȘtre plus en faisant partie d’un groupe. Une personne peut faire beaucoup, mais plus de gens peuvent se consacrer Ă  diffĂ©rentes tĂąches. Bien sĂ»r, cela ne signifie pas faire partie d’un groupe aveuglĂ©ment. Pour que la citation soit vraie, non seulement le groupe doit en bĂ©nĂ©ficier, mais vous aussi. Si vous ajoutez vos capacitĂ©s et vos talents, vous devriez faire au moins un peu mieux qu’avant, et le groupe devrait Ă©galement faire mieux. Cela est gĂ©nĂ©ralement dĂ» Ă  la spĂ©cialisation, car plus personne n’a Ă  tout faire. Cela peut Ă©galement s’appliquer Ă  votre vie sociale. Une personne peut s’amuser beaucoup, mais certaines choses sont meilleures dans un groupe. Encourager votre Ă©quipe sportive prĂ©fĂ©rĂ©e peut ĂȘtre amusant, mais c’est plus amusant avec des amis. Pensez Ă  la diffĂ©rence entre s’asseoir seul devant un feu de camp et avoir des amis avec vous pour partager des histoires. La citation n’insiste pas sur le fait que nous devons toujours faire partie du tout, et je rĂ©alise plus que tout la valeur de la solitude et de la rĂ©flexion. Mais il y a des moments pour chaque activitĂ© dans nos vies, et partager nos connaissances, nos compĂ©tences, notre expĂ©rience et nos Ă©motions avec les autres est important, car nous travaillons avec le reste de nos amis, avec l’ensemble. OĂč puis-je l’appliquer dans ma vie? J’ai lu le livre de Covey Les 7 habitudes des Personnes trĂšs efficaces » qui est Ă  peu prĂšs Ă  moitiĂ© consacrĂ© Ă  la façon de travailler avec d’autres personnes. L’autre premiĂšre moitiĂ© est la meilleure façon de travailler seul. Le livre indique que l’amĂ©lioration du fait de faire correctement partie de l’ensemble peut entraĂźner une augmentation de la productivitĂ© de 20 Ă  50 fois. Je ne sais pas pour toi, mais j’aimerais avoir 20 Ă  50 fois plus de presque tout. C’est en partie pour ça que je lis le livre. En tant qu’ingĂ©nieur, je suis assez douĂ© pour m’auto-organiser et travailler de maniĂšre indĂ©pendante, mais les Ă©quipes d’ingĂ©nieurs sont notoirement improductives. Je cherche donc quelque chose pour m’aider au travail et pour le reste de ma vie. Comment faites-vous partie d’une Ă©quipe, d’un » tout » dans votre vie ? Si vous avez une famille, vous faites partie d’une Ă©quipe. Si vous allez Ă  l’école, vous avez une Ă©quipe, un tout dont vous faites partie ou avez dĂ©jĂ  fait partie. Bien que toutes les familles ou les Ă©coles ne soient pas les meilleurs exemples de choses qui se passent bien, il y en a beaucoup qui sont des exemples brillants de la façon dont cela fonctionne. ConsidĂ©rez un moment oĂč vous pourriez avoir arrĂȘtĂ©, abandonnĂ© ou tout simplement ne pas avoir fait de votre mieux. Que ce soit avec votre famille, Ă  l’école ou mĂȘme au gymnase, y a-t-il eu un moment oĂč un ami vous a exhortĂ© Ă  faire plus d’efforts? Bien que cela ne change pas toujours le rĂ©sultat, j’ai trouvĂ© que cela m’aide Ă  faire mieux. Comment vos expĂ©riences se sont-elles dĂ©roulĂ©es pour vous? Que vous appeliez cela synergie, travail d’équipe ou autre chose, il y a quelque chose de spĂ©cial qui se produit lorsque nous travaillons ensemble vers un objectif commun. Et c’est la meilleure application pour la citation, en ce qui concerne les gens. Il peut Ă©galement ĂȘtre appliquĂ© aux machines, car une laveuse et une sĂ©cheuse ensemble sont bien meilleures que l’une ou l’autre seule. De mĂȘme, nous avons les appareils dans nos cuisines car ils fonctionnent bien ensemble. Vous n’avez pas besoin d’un mĂ©langeur, mais cela peut certainement faciliter les choses, rendre l’ensemble de la cuisine plus efficace, n’est-ce pas? La mĂȘme chose peut ĂȘtre dite d’une tĂ©lĂ©vision. un lecteur multimĂ©dia, source de signal. Plus vous en avez, mieux c’est. Prenez un moment pour rĂ©flĂ©chir Ă  ce que vous avez qui est un tout » et aux piĂšces Ă  partir desquelles elles sont fabriquĂ©es. Quelles autres parties pourraient ĂȘtre ajoutĂ©es pour les amĂ©liorer, pour rendre l’ensemble encore plus grand? Maintenant, faites de mĂȘme pour les gens de votre vie. Quels groupes sont le tout’ dans votre vie? J’en ai dĂ©jĂ  mentionnĂ© quelques-uns, mais y en a-t-il d’autres? Que pouvez-vous faire pour faire plus de vous-mĂȘme? Comment pouvez-vous aider et ĂȘtre aidĂ© par l’ensemble, quel que soit ce groupe? Que ce soit Ă  l’école, au travail ou Ă  la maison, vous pouvez vous aider et aider les autres et rendre la vie meilleure pour tout le monde, pour l’ensemble. Qu’allez-vous vous engager Ă  faire pour vous aider et aider les autres Ă  ĂȘtre plus qu’ils ne le sont maintenant? De Twitter, philo_quotes confirmĂ© Ă  MĂ©taphysique, Livre VIII, 3Ăšme entrĂ©e photo de GotCredit Ă©galement Ă 

RequestPDF | On Jan 1, 2001, Louise Nadeau published Lorsque le tout est plus grand que la somme de ses parties: La cooccurrence de la toxicomanie et des autres troubles mentaux | Find, read and

Pour ce 59e numĂ©ro, nous avons eu l’immense privilĂšge d’échanger avec l’une des personnalitĂ©s les plus inspirantes qui soit. Bertrand Piccard fait aujourd’hui partie de ces lĂ©gendes qui ont façonnĂ© le monde de l’exploration et qui se battent sans relĂąche pour repousser un peu plus loin les limites humaines. Premier homme Ă  rĂ©aliser le tour du monde en ballon sans escale puis en avion solaire sans carburant, il est dĂ©sormais engagĂ© dans un dĂ©fi bien plus immense encore celui de tout mettre en Ɠuvre pour concilier Ă©cologie et dĂ©veloppement des Nations Unies pour l’Environnement et conseiller spĂ©cial auprĂšs de la Commission europĂ©enne, via sa Fondation Solar Impulse, il cherche Ă  promouvoir des solutions durables et Ă©conomiquement rentables nous permettant d’ĂȘtre Ă  la fois plus responsables vis-Ă -vis de l’environnement tout en assurant des retombĂ©es Ă©conomiques. Cette croissance qualitative », comme il la nomme, est selon lui la seule issue possible pour l’avenir de l’humanitĂ©, sans quoi cette derniĂšre devra faire face Ă  de trĂšs grandes catastrophes. Chaque voie est unique et notre devoir est de cultiver les diffĂ©rences. Loin d’ĂȘtre resignĂ© et malgrĂ© un regard parfois dĂ©sabusĂ© sur l’Homme l’ĂȘtre humain a peur de l’inconnu et du changement » et ceux qui le dirigent il est important que les gouvernements prennent leurs responsabilitĂ©s », l’aventurier suisse aimerait que nous comprenions une fois pour toute que la transition Ă©cologique est en rĂ©alitĂ© un avantage Ă©conomique ». Et qu’on change pour de bon le narratif Ă©cologique » en une action enthousiasmante ». Avec, en premier lieu, les Ă©tudiants, leur rappelant que nous sommes face Ă  des dĂ©fis extraordinaires et qu’on a besoin d’eux », en particulier les ingĂ©nieurs. Cette pĂ©nurie, nous en avons pleine conscience au sein du Groupe et chaque annĂ©e, nous avons justement le plaisir d’y rĂ©pondre en formant de nouveaux diplĂŽmĂ©s issus de nos quatre Ă©coles d’ingĂ©nieurs ESME, EPITA, IPSA et Sup’Biotech. Ceux de la promotion 2021 Ă©taient justement rĂ©unis, au mĂȘme titre que les diplĂŽmĂ©s de l’ensemble de nos Ă©coles, au Palais des CongrĂšs de Paris pour une cĂ©rĂ©monie de remise des titres exceptionnelle. Un moment unique qui, chaque fois, nous rappelle combien nous avons le privilĂšge de pouvoir transmettre les meilleures armes Ă  tant de jeunes potentiels afin de les voir s’épanouir. Comme le rappelle Bertrand Piccard, si on choisit bien sa voie, il n’y a pas de souci Ă  se faire pour trouver un emploi ». C’est prĂ©cisĂ©ment l’une de nos responsabilitĂ©s chaque voie est unique et notre devoir est de cultiver les diffĂ©rences qui font que le tout est toujours plus grand que la somme des lecture !Marc Drillech, directeur gĂ©nĂ©ral de IONIS Education Group
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LETOUT EST PLUS QUE LA SOMME DES PARTIES le dossier Le tout est plus que la somme des parties L’Inde nourrit des fantasmes dans le chef des vieilles nations industrialisĂ©es. Au mĂȘme titre que la Chine est souvent prĂ©sentĂ©e comme l’atelier du monde, l’Inde serait le prestataire de services du monde. Consacrant cette caricature, le sommet de Davos qui Jan et Stef fĂȘtent 50 annĂ©es d’expĂ©rience chez Sensotec Ă  eux deux Sensotec partage son expertise depuis plus de 30 ans. En tant qu’entreprise, nous sommes fiers de toujours compter parmi nos employĂ©s des collaborateurs de la toute premiĂšre heure. Travailler vingt ans et trente ans dans la mĂȘme entreprise ? À l’époque actuelle, cela relĂšve plutĂŽt de l’exception. Jan et Stefaan ne sont plus des novices. Depuis de nombreuses annĂ©es, ils donnent le meilleur d’eux-mĂȘmes pour l’entreprise et pour les clients. Leur engagement mĂ©rite donc d’ĂȘtre mis Ă  l’honneur. 20 ans chez Sensotec Jan Bruynooghe Jan est conseiller en outils visuels et est spĂ©cialisĂ© en braille. Mais ça n’est pas tout ! Depuis de nombreuses annĂ©es, il est aussi aux commandes de l’équipe flamande de conseillers visus. Collaborateur talentueux, il est entrĂ© en fonction chez Sensotec lors du passage Ă  l’an 2000. ÂgĂ© alors de 30 ans, papa d’une petite fille et futur papa d’un petit garçon, il a commencĂ© au poste de manager pour l’étranger. Apprendre le braille Ă©tait alors indispensable. L’un des moments les plus mĂ©morables pour Jan a Ă©tĂ© d’assister Ă  la confĂ©rence ICEVI en Pologne pour faire la promotion de l’outil de braille Euroscope auprĂšs d’experts en la matiĂšre. En plus de ses connaissances en braille, Jan a commencĂ© Ă  assumer de plus en plus de responsabilitĂ©s. C’est un penseur Ă  l’esprit affĂ»tĂ©, toujours de bonne humeur, passionnĂ© de musique et musicien lui-mĂȘme, et une personne avec le cƓur sur la main. De quoi tire-t-il le plus de satisfaction ? Du contact personnel avec les clients aussi bien utilisateurs qu’intermĂ©diaires, les partenaires et ses collĂšgues. Jan ne travaille pas avec des machines et des logiciels, mais avec et pour ceux qui peuvent utiliser des outils en raison de leurs problĂšmes de vue. Travailler au quotidien avec des collĂšgues partageant la mĂȘme vision dans une entreprise en pleine Ă©volution restant, malgrĂ© les diffĂ©rents changements, fidĂšle Ă  ses valeurs est ce qui a toujours plu Ă  Jan au fil des ans chez Sensotec. Vous aimeriez voir Jan Ă  l’Ɠuvre en dehors de Sensotec ? Il monte rĂ©guliĂšrement sur scĂšne avec Dirty 5 » et Het akoestisch ei ». 30 ans chez Sensotec Stefaan Werbrouck Stef a Ă©tĂ© cueilli Ă  sa sortie de l’école par Frank qui est aujourd’hui encore directeur gĂ©nĂ©ral chez Sensotec Ă  l’étĂ© 1990. Son diplĂŽme d’électronique en poche, il a dĂ©butĂ© sa carriĂšre chez Sensotec dans une Ă©quipe composĂ©e alors de 5 personnes. Stefaan se chargeait alors de la production, de la rĂ©ception des biens, du support et des rĂ©parations. Alors que les produits se comptaient alors sur les doigts de la main, et parmi lesquels on trouvait le Braildec un produit pionnier de Sensotec permettant de transcrire le braille en Ă©criture noire, ils sont dĂ©sormais 150 outils visuels matĂ©riels et logiciels Ă  faire partie de la gamme de Sensotec. Au fil des annĂ©es, Stefaan s’est de plus en plus concentrĂ© sur le support low vision et les rĂ©parations matĂ©rielles. Ce papa de quatre adolescents est un fan inconditionnel de ses 3 jeunes basketteurs. Depuis 30 ans, il est un membre infatigable du club de danse folklorique t Vrij Uurke Ă  Zedelgem. L’évĂšnement le plus marquant pour lui chez Sensotec restera sans doute le dĂ©mĂ©nagement de Varsenare Ă  Jabbeke. Trier les ordinateurs et accessoires cassĂ©s aura Ă©tĂ© Ă  l’origine de grands moments de plaisir et de rires avec des sĂ©ances de lancers d’écran et de PC. Cela fait dĂ©jĂ  10 ans
 L’environnement de travail agrĂ©able Ă  Jabbeke et l’ambiance collĂ©giale sont autant d’élĂ©ments qui donnent envie Ă  Stef de rester chez Sensotec. Mentalement 13 est partitionnĂ© en 10 et 3; le 3 est ajoutĂ© au 5 pour faire 8. La somme est Ă©gale Ă  10 + 8 = 18. Plus simplement, on se contente d'ajouter les unitĂ©s. Addition avec retenue . Mentalement, 5 est partitionnĂ© en 2 et 3 de sorte que le 2 complĂ©mentĂ© Ă  8 donne 10. La somme est 10 + 3 = 13. Soustraction sans retenue Points clĂ©s Ă  retenir - Le tĂ©lĂ©travail a montrĂ© qu’il pouvait fonctionner sur courte pĂ©riode, et c’est une leçon importante. Mais ses gains et son efficacitĂ© restent Ă  dĂ©montrer sur longue pĂ©riode. - Le tĂ©lĂ©travail pourrait ĂȘtre un remĂšde pire que le mal s’il venait Ă  ĂȘtre utilisĂ© pour de mauvaises raisons. C’est un outil, le cƓur du changement rĂ©side dans la gestion des La valeur de l’immobilier ne se rĂ©sume plus Ă  des mÂČ , mais rĂ©side dans la capacitĂ© d’un immeuble Ă  faire que les Ă©quipes travaillent mieux qu’ailleurs- La mise en place du tĂ©lĂ©travail se fera progressivement et les entreprises qui envisagent de l’appliquer massivement sont des exceptionsC’est entendu, tout le monde va passer au tĂ©lĂ©travail. AprĂšs tout, ses vertus ne sont-elles pas Ă©videntes ? Jean-Claude ne sera plus lĂ  pour distraire tout le monde avec ses blagues intempestives. Et puis qui voudrait encore passer 1h30 dans les transports tous les jours ? Enfin, et non des moindres, qui ne veut pas apparaĂźtre moderne » ?Venons-en aux vertus de ce mode de travail. Sujet glissant tant le dĂ©bat se prĂȘte Ă  des points de vue caricaturaux entre les pro » et les anti » et laisse peu de place aux faits, faute d’études et de recul. Mais on peut dire sans trop de risque de se tromper que chaque systĂšme a ses avantages et ses dĂ©fauts. Or en l’occurrence nous ne connaissons pas encore ceux du tĂ©lĂ©travail sur longue pĂ©riode. Faut-il opposer le prĂ©sentĂ©isme » au tĂ©lĂ©travail ?Selon un sondage IFOP[1] - BNP Paribas Real Estate, avec un taux d’approbation de 80%, la principale rĂ©percussion d’un recours massif au tĂ©lĂ©travail serait de voir les salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail adapter leur temps de travail Ă  leur charge rĂ©elle de travail ». Autrement dit, le tĂ©lĂ©travail aurait pour principale vertu de nous dĂ©barrasser du prĂ©sentĂ©isme ». Mais rien n’indique que le tĂ©lĂ©travail rĂ©soudrait ce problĂšme Ă  lui tout seul. N’oublions pas que le tĂ©lĂ©travail est un simple outil ; tout dĂ©pend de l’usage qu’on en fait. Et gare aux apprentis experts qui rĂ©cemment munis d’un marteau voient des clous partout ! Car mal utilisĂ© le tĂ©lĂ©travail pourrait empirer la situation. Les outils informatiques peuvent renforcer la surveillance des salariĂ©s par l’employeur, ou crĂ©er un cercle vicieux oĂč les employĂ©s se sentiraient obligĂ©s de montrer » leur engagement en travaillant Ă  toute heure. Les rĂ©pondants semblent donc confondre le symptĂŽme et la causeMal employĂ©, le tĂ©lĂ©travail pourrait bien ĂȘtre le fossoyeur de la culture d’entrepriseLes rĂ©pondants dans ce sondage sont par contre plus lucides, selon moi, quant au risque d’un tĂ©lĂ©travail appliquĂ© massivement Ă  59% ils jugent vraisemblable que les tĂ©lĂ©-Ă©quipiers ne seront pas sensibles Ă  la culture de l’entreprise ». Alors mĂȘme qu’ils sont 71% Ă  juger cette condition peu souhaitable. Si comme moi vous pensez que la culture d’entreprise est un Ă©lĂ©ment clĂ© de sa rĂ©ussite, la perspective du tĂ©lĂ©travail s’avĂšre peu engageante. Sans oublier l’importance du lieu de travail pour les nouveaux talents, la crĂ©ativitĂ©, le lien social, la marque. A ce sujet je vous invite d’ailleurs Ă  lire le trĂšs bon billet de Guillaume Poitrinal Pourquoi je suis de retour au bureau ».Le changement se fera progressivement, et cela fait toute la diffĂ©rence entre une rĂ©volution et une Ă©volutionFermez le ban, il n’y a rien Ă  voir ? Non, ça serait trop facile. AprĂšs deux mois de confinement oĂč le tĂ©lĂ©travail a permis la continuitĂ© de bon nombre d’entreprises, ce serait faire preuve de cĂ©citĂ© que de refuser d’analyser ce deux mois de confinement oĂč le tĂ©lĂ©travail a permis la continuitĂ© de bon nombre d’entreprises, ce serait une erreur de refuser d’analyser et de comprendre ce y a fort Ă  parier qu’une Ă©volution, quelle que soit son amplitude, se fasse graduellement. Les plus sceptiques pourraient mĂȘme rappeler que cela fait vingt ans que le tĂ©lĂ©travail devait s’imposer du jour au au-delĂ  de la survenance ou non du tĂ©lĂ©travail dans nos vies, rappelons qu’en matiĂšre d’immobilier, le temps long prend toute son importance. Les changements se font graduellement. Et c’est tant mieux car c’est prĂ©cisĂ©ment ce qui rend l’immobilier intĂ©ressant aux yeux des investisseurs, le temps long, cette denrĂ©e rare !Apprenons des erreurs des autres l’immobilier ne se rĂ©sume pas Ă  des mÂČ , mais Ă  une solution fournie Ă  un clientLe monde tertiaire a changĂ© depuis 2008 des tiers lieux et des opĂ©rateurs de co-working ont Ă©mergĂ© Morning Coworking, Deskeo, etc., des outils de collaboration en ligne efficaces se sont gĂ©nĂ©ralisĂ©s, et une nouvelle gĂ©nĂ©ration de collaborateurs est arrivĂ©e avec des attentes industrie n’est immunisĂ©e contre le changement, la fameuse disruption »[ . Rappelons-nous que des industries entiĂšres regrettent d’avoir niĂ© l’impact du digital. La musique et la presse par exemple, qui ont confondu le support qu’elles faisaient payer au client et l’usage qui apportait de la valeur au client. Dans l’immobilier c’est un peu pareil si on voit le bureau comme un simple cumul de mÂČ Ă  facturer, il perdra de sa valeur, car le mÂČ n’est pas la valeur apportĂ©e au client. La valeur d’un immeuble rĂ©side dans la capacitĂ© Ă  offrir un espace oĂč les Ă©quipes collaborent mieux qu’ailleurs et notamment mieux qu’en ligne. Le bureau n’est plus le seul lieu oĂč peut se produire un travail, c’est un fait. Mais cette fonction ne disparaĂźt pas pour autant. Et les autres fonctions de l’immobilier prennent une importance nouvelle les rencontres, l’image, les relations informelles qui mettent de l’huile dans les rouages. Autant de fonctions que le tĂ©lĂ©travail ne saurait remplir facilement. Sans oublier les coĂ»ts cachĂ©s pour gĂ©rer cette organisation nouvelle ex sĂ©curitĂ© informatique.Pour 94% des directeurs financiers, le recours au tĂ©lĂ©travail sera marginal ; d’autant moins que les gains financiers s’avĂ©reront sĂ»rement infĂ©rieurs Ă  ce qu’ils imaginentMcKinsey s’appuyant sur les chiffres du Gartner Group a menĂ© une Ă©tude[2] auprĂšs des directeurs financiers. Leur point de vue est dĂ©terminant lorsqu’il s’agit de dĂ©cisions immobiliĂšres. À la question quel pourcentage de votre personnel passera en 100% tĂ©lĂ©travail aprĂšs l’épidĂ©mie parmi le personnel qui ne l’était pas dĂ©jĂ  auparavant ? » o 53% des directeurs financiers estiment que cela concernera entre 0% et 5% de leur personnel o 25% d’entre eux tablent sur 10%o 17% anticipent que cela vaudra pour 20% des final, 6% des entreprises pensent que cela concernera 20 Ă  50% de leurs effectifs, voire plus. Certes, cela compte, mais rien, que le marchĂ© immobilier ne sache absorber dans la durĂ©e. Surtout lorsqu’on sait que le taux d’occupation des bureaux Ă©tait de 95% dans la plupart des grands marchĂ©s immobiliers en France avant la crise. Soit un taux de vacance trĂšs faible, quasiment incompressible du fait de la viscositĂ© » du qu’une question n’est pas abordĂ©e par cette enquĂȘte le calcul financier. Mettre tous ses salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail est sĂ©duisant pour un directeur financier qui imagine rĂ©duire les charges immobiliĂšres liĂ©es Ă  ses bureaux. Seulement, la direction Ressources Humaines viendra lui rappeler les obligatoires nĂ©gociations qui vont avoir lieu avec les syndicats ou reprĂ©sentants du personnel quant Ă  l’indemnisation des salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail prise en charge financiĂšre du bureau Ă  la maison, du matĂ©riel informatique, de l’imprimante, des frais d’électricitĂ©, d’accĂšs internet. On peut donc penser que les premiĂšres intentions des directeurs financiers, qui sont sommes toutes timides, seront encore tempĂ©rĂ©es par les coĂ»ts cachĂ©s. Les besoins immobiliers ne devraient pas tant baisser que connaĂźtre une redistribution. Alors bien sĂ»r une redistribution, ça compte aussi, et certains marchĂ©s souffriront alors que d’autres gagnent. Mais ce n’est jamais que la vie normale des affaires.[1]
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toutaccord des parties, quel qu’il soit. Il ne saurait en effet prĂȘter la main Ă  l’exĂ©cution d’obligations dont il dĂ©sapprouverait la formation ou la teneur. Contracter, ce n’est pas seulement vouloir, c’est utiliser un instrument forgĂ© par le droit. Par ailleurs, l’obligation sans cause, ou sur une fausse cause ou sur une cause illicite ne peut avoir aucun effet. Par lĂ , le J'ai toujours Ă©tĂ© agacĂ© par la maxime Le tout est plus que la somme de ses parties» due au grand Aristote. Elle a Ă©tĂ© commentĂ©e mille fois et presque toujours applaudie sans beaucoup de sens critique. La raison de cette agacement est que je ne voyais pas Ă  quoi pouvait correspondre sĂ©rieusement —c'est-Ă -dire mathĂ©matiquement ou logiquement— ce "plus" que possĂ©derait toujours le tout sur la somme de ses parties. Pour donner Ă  la maxime un sens intĂ©ressant —et si possible dĂ©montrable—, il faut fixer une notion de valeur, et constater —ou mieux prouver— que celle du "tout" est plus grande que la somme des valeurs des "parties". Pour faire une somme, il faut dĂ©passer les idĂ©es vagues et dĂ©finir une mesure. Il faut donc associer un nombre au "tout" et d'autres Ă  chaque "partie". La maxime avec peut-ĂȘtre des hypothĂšses restrictives Ă  formuler doit pouvoir devenir un thĂ©orĂšme. Il semble assez naturel de rechercher cette valeur sous la forme d'une mesure de complexitĂ© ou de contenu en information car ce plus» Ă©voquĂ© est vraisemblablement un enrichissement, ce qu'aujourd'hui nous cherchons Ă  comprendre en employant les mots information et complexitĂ©. En rĂ©sumĂ©, pour tirer quelque chose de formel et donc de prĂ©cis de la maxime sur le "tout" et les "parties", on doit considĂ©rer des objets A1, A2, ..., Ak qui auront chacun une certaine complexitĂ© ComplexitĂ©A1, ComplexitĂ©A2, ..., ComplexitĂ©Ak ne prĂ©cisons pas de quelle complexitĂ© on parle pour l'instant ni son rapport Ă©ventuel avec de l'information, et dont la rĂ©union UnionAi aura une complexitĂ© plus grande que la somme des complexitĂ©s individuelles ComplexitĂ©UnionAi > ComplexitĂ©A1 + ... + ComplexitĂ©Ak Il se trouve que ça ne marche pas bien pour toutes les idĂ©es qui viennent en premier Ă  l'esprit du mathĂ©maticien et de l'informaticien thĂ©oricien. Tentative 1 Prenons pour objet des ensembles au sens mathĂ©matique et pour mesure de leur complexitĂ© leur nombre d'Ă©lĂ©ments. Ce n'est pas absurde plus un ensemble comprend d'Ă©lĂ©ments, plus il est complexe. Il y a bien un rapport entre les deux cĂŽtĂ© de l'inĂ©galitĂ© Ă©tudiĂ©e, mais il est inverse de celui qu'on attend ComplexitĂ© UnionAi ≀ ComplexitĂ© A1 + ... + ComplexitĂ© Ak Il s'agit d'un thĂ©orĂšme immĂ©diat en thĂ©orie des ensembles. Dans le cas d'ensembles finis, il n'y a Ă©galitĂ© que lorsque tous les ensembles sont disjoints deux Ă  deux, ce qui se produit plutĂŽt rarement. Notre premiĂšre tentative de formalisation, donne et dĂ©montre une maxime opposĂ©e Ă  celle d'Aristote ! Tentative 2 Prenons pour objet des problĂšmes algorithmiques applicables Ă  des entiers n. Quelques exemples. A1 factoriser n» ; A2 trouver la somme des diviseurs de n» ; A3 dĂ©terminer si n est un nombre premier» ; A4 dĂ©terminer si n est un carrĂ© parfait» ; etc. Prenons pour le tout, le problĂšme de rĂ©soudre l'ensemble des problĂšmes Ă©lĂ©mentaires simultanĂ©ment. Pour mesure de complexitĂ©, prenons —cela va de soi pour qui s'intĂ©resse Ă  la complexitĂ© des algorithmes— le nombre d'opĂ©rations nĂ©cessaires ou la taille de la mĂ©moire nĂ©cessaire pour mener la rĂ©solution des problĂšmes. On sait par exemple depuis 2002 que savoir si un nombre n est premier problĂšme de la primalitĂ© est polynomial en fonction de la taille de n. Avec cette formalisation on ne peut plus naturelle pour qui s'occupe d'algorithmes, la maxime d'Aristote ne marche toujours pas. En effet, la complexitĂ© de la rĂ©solution du "tout" sera au plus la somme des complexitĂ©s des "parties" et sera souvent plus faible car certains problĂšmes comme ceux de notre liste bĂ©nĂ©ficient des calculs faits pour d'autres ce qui permet des Ă©conomies de ressource pour qui cherche Ă  traiter les problĂšmes simultĂ©nĂ©ment. La complexitĂ© du "tout", dans le cas des problĂšmes et algorithmes, est toujours infĂ©rieure ou Ă©gale Ă  la somme des complexitĂ©s des "parties". ComplexitĂ© UnionAi ≀ ComplexitĂ© A1 + ... + ComplexitĂ© Ak Dommage ! Tentative 3 On considĂšre des objets numĂ©riques finis et on mesure leur valeur par la complexitĂ© de Kolmogorov, qui, par dĂ©finition, est la taille du plus petit programme qui les engendre. Cette mesure de complexitĂ© est aujourd'hui unanimement considĂ©rĂ©e comme la bonne mesure du contenu en information» d'un objet numĂ©rique. Elle gĂ©nĂ©ralise l'entropie de Shannon. Elle est utilisĂ©e en informatique mais aussi en physique, en philosophie des sciences, en biologie, en psychologie. Pas de chance, et c'est plus grave ici car il s'agit vraiment d'une mesure de contenu en information, lĂ  encore la complexitĂ© de Kolmogorov d'un ensemble d'objets numĂ©riques finis est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă  la somme des complexitĂ©s de Kolmogorov des objets pris un Ă  un. C'est un thĂ©orĂšme de la thĂ©orie. L'idĂ©e de la dĂ©monstration est simple les programmes les plus courts qui engendrent A1, A2, ..., Ak, peuvent ĂȘtre mis bout Ă  bout ; ils constituent alors un programme qui engendre le "tout" ; ce programme somme n'est peut-ĂȘtre pas le plus court qui donne le "tout", mais le programme le plus court qui donne le "tout" sera plus court puisqu'il y a dĂ©jĂ  ce programme lĂ  et donc la complexitĂ© du "tout" sera infĂ©rieure Ă  la somme des complexitĂ© des "parties". LĂ  encore, la thĂ©orie dit et dĂ©montre le contraire de la maxime d'Aristote. Fort de ces exemples, il me semblait que jamais dans aucun cas, on ne pouvait mathĂ©matiquement trouver des situations oĂč la complexitĂ© du "tout" est plus grande que la somme des complexitĂ©s des objets pris individuellement. MĂȘme en cherchant le plus honnĂȘtement possible, quelle que soit la façon naturelle de dĂ©finir et de mesurer la complexitĂ©, pas de "tout" meilleur que "la somme des parties". PrĂ©cision que dans ma recherche d'une mesure de complexitĂ© satisfaisant la maxime d'Aristote, j'ai exclu les mĂ©thodes factices oĂč on place dans le "tout" autre chose que l'ensemble des "parties". Par exemple, je ne considĂšre pas comme une illustration acceptable de la maxime d'Aristote qu'on dise qu'il y a dans un mot plus que ce qu'il y a dans l'ensemble de ses lettres. Il est vrai que dans le mot COMPLEXE, il y a plus que dans la donnĂ©e de l'ensemble de ses lettres C, E, E, L, M, O, P, X, mais c'est bien Ă©videmment parce qu'on ordonne les lettres, et que cet ordre ajoutĂ© aux parties constitue le "plus" qu'on trouve dans le "tout" et qui n'est pas dans la somme des "parties". De telles illustrations de la maxime d'Aristote sont illusoires et naĂŻves, elles sont triviales et sans intĂ©rĂȘt puisque qu'elles sont basĂ©es sur un ajout cachĂ© quand on constitue le "tout", autrement dit un truc de prestidigitateur. Pouvait-il exister des cas recevables illustrant formellement la maxime d'Aristote dans le champ contemporain des sciences de la complexitĂ© ? Enfin un cas qui marche ! La thĂ©orie algorithmique de l'information qui dĂ©taille tout ce qu'on peut dire et dĂ©montrer sur la complexitĂ© de Kolmogorov a introduit une notion qui va nous sauver. Il s'agit de la profondeur logique de Bennett» qui est, par dĂ©finition, le temps de calcul du plus court programme qui produit l'objet numĂ©rique fini auquel on s'intĂ©resse. C'est une mesure de complexitĂ© structurelle» une mesure de la richesse en organisation, ce que n'est pas la complexitĂ© de Kolmogorov qui n'est qu'une mesure de contenu incompressible d'information». Ces deux mesures de complexitĂ© diffĂšrent le plus Ă  propos des objets alĂ©atoires dont l'exemple typique est une suite finie de '0' et de '1' obtenue par des tirages successifs Ă  pile ou face. Pour un tel objet alĂ©atoire, la complexitĂ© de Kolmogorov est maximale on ne peut pas le dĂ©crire de maniĂšre sensiblement plus brĂšve qu'en en donnant les Ă©lĂ©ments un Ă  un, ce qui est la pire situation puisque l'objet Ă  produire sera explicitement dans le programme. Une suite alĂ©atoire des bits est incompressible alors qu'Ă  l'inverse la profondeur logique est minimale une suite alĂ©atoire n'est pas structurĂ©e, son contenu en structure est quasi-nul ; sa profondeur logique de Bennett est rĂ©duite au minimum puisqu'exĂ©cuter le programme le plus court qui engendre la suite alĂ©atoire revient Ă  exĂ©cuter un programme qui recopie une donnĂ©e explicitement inscrite dans le programme et qu'une telle copie ne peut pas prendre de temps. Dans le cas gĂ©nĂ©ral, la profondeur logique de Bennett ne donne pas que le "tout" a une complexitĂ© plus grande que la somme des complexitĂ©s des "parties". En effet, si vous prenez un tout composĂ© de k fois le mĂȘme objet, sa profondeur logique sera Ă  peu de chose prĂšs la complexitĂ© d'un seul objet, et donc sera nettement infĂ©rieure Ă  la somme des complexitĂ©s des objets pris un Ă  un. Il ne peut y avoir un thĂ©orĂšme du "tout" et des "parties" exprimant sans restriction la maxime d'Aristote, mĂȘme avec la profondeur logique de Bennett ! En revanche, et c'est lĂ  que j'ai eu une surprise, il existe des cas oĂč on peut Ă©tablir avec certitude ce qui est assez difficile quand on manie le concept de profondeur logique que la complexitĂ© d'un tout composĂ© de plusieurs objets sera supĂ©rieure Ă  la complexitĂ© de la somme de chacun d'eux. Voici un tel exemple imparable. ConsidĂ©rons les deux images A et B. A B Chacune est composĂ©e de '0' pixel noir et de '1' pixel blanc d'une maniĂšre parfaitement alĂ©atoire. Leur profondeur logique de Bennett est donc minimale comme nous venons de l'expliquer un objet alĂ©atoire n'est pas structurĂ© et possĂšde donc une profondeur logique minimale comparable Ă  celle d'une suite de mĂȘme longueur composĂ©e uniquement de '0'. Le "tout" composĂ© des deux images A et B n'est pas alĂ©atoire, car les deux images sont intimement corrĂ©lĂ©es. Pour s'en rendre compte, on applique un ou-exclusif entre A et B ce qui donne une image C quand les deux pixels de A et B sont identiques, on met un '1' dans l'images C, sinon on met un '0'. C Faites l'expĂ©rience tĂ©lĂ©chargez les images et superposez-les la superposition simple qui correspond au 'ou' fait dĂ©jĂ  apparaĂźtre le rĂ©sultat ; l'opĂ©ration logique 'ou-exclusif' appelĂ©e aussi 'xor' donne exactement C. On voit apparaĂźtre un cĂ©lĂšbre personnage de l'histoire de France, mais on peut bien sĂ»r par le mĂȘme procĂ©dĂ© Ă  la base de ce qu'on nomme la cryptographie visuelle » obtenir n'importe quelle image aussi structurĂ©e qu'on le souhaite en partant de deux objets parfaitement non structurĂ©s mais corrĂ©lĂ©s. On montre par ailleurs que partant de A et de C on obtiendra B en appliquant lĂ  aussi un ou-exclusif. Il en rĂ©sulte que le programme le plus court qui donnera le "tout" A et B sera le programme le plus court de A associĂ© avec le programme le plus court de C, suivi d'un calcul de ou-exclusif entre A et C, ou sera quelque chose trĂšs proche de ce procĂ©dĂ©. Puisque C est structurĂ© de maniĂšre non triviale, ce programme minimal pour le "tout" A et B aura un temps de calcul plus long que la somme des temps de calcul des programmes minimaux pour A et minimaux pour B qui Ă©taient des programmes trĂšs rapides puisqu'il n'y aucune structure dans A, et aucune structure dans B. La profondeur logique du "tout" A et B" est donc plus grande que la somme de la profondeur logique de A et de la profondeur logique de B. C'est un thĂ©orĂšme et l'Ă©noncĂ© gĂ©nĂ©ral qu'on peut donner de cette situation est le suivant Quelle que soit la profondeur logique d'un objet numĂ©rique C, on peut construire deux objets numĂ©riques A et B, de telle façon que A et B soient chacun de profondeur logique minimale, et que le "tout" constituĂ© de A et de B possĂšde une profondeur logique Ă©quivalente Ă  celle de C puisqu'il donne C. ComplexitĂ©A union B > ComplexitĂ©A + ComplexitĂ©B Dans le cas de telles situations, on a bien deux objets dont l'ensemble a une complexitĂ© structurelle plus grande que la somme des complexitĂ©s structurelles des parties. Enfin un cas gĂ©nĂ©ral oĂč la maxime d'Aristote prend un sens formel, prĂ©cis et dĂ©montrable ! Le cas des systĂšmes complexes Je pense que ce n'est pas un hasard si pour rĂ©ussir Ă  donner un sens mathĂ©matique prĂ©cis Ă  la maxime d'Aristote en proposant une notion bien dĂ©finie de valeur des objets qu'on combine, il a fallu se rĂ©fĂ©rer Ă  la complexitĂ© structurelle telle que l'a dĂ©finie Bennett et surtout pas Ă  la complexitĂ© de Kolmogorov qui ne donnera jamais l'inĂ©galitĂ© recherchĂ©e puisqu'on dĂ©montre qu'elle donne l'inĂ©galitĂ© inverse . Il est probable que ceux qui Ă©voquent ce "tout" qui est plus que la "somme" de ses "parties" ont en tĂȘte des situations oĂč c'est bien l'organisation ou encore "la richesse en structures", "la valeur fonctionnelle", "le contenu en calcul" qui sert Ă  mesurer ce que valent le "tout" et ses "parties". L'idĂ©e exprimĂ©e par la phrase d'Aristote est souvent fausse —elle intĂ©resse d'ailleurs parce qu'on la perçoit comme paradoxale—, mais il y a des cas oĂč le paradoxe devient vrai et prouvable ceux oĂč ce qui mesure la valeur du tout est vraiment liĂ© Ă  une richesse en structures. Ces cas font l'intĂ©rĂȘt de la maxime. Croire Ă  la maxime et en faire un pilier philosophique des rĂ©flexions sur la complexitĂ© sans mĂȘme chercher Ă  savoir de quoi elle parle, ni si cela peut se mathĂ©matiser est une attitude ridicule puisque le plus souvent c'est l'inĂ©galitĂ© inverse qu'on peut dĂ©montrer mĂȘme quand on envisage la complexitĂ© des algorithmes ou la complexitĂ© de Kolmogorov. Disposer d'un cas prĂ©cis oĂč la maxime devient vraie est trĂšs Ă©clairant, et je considĂšre qu'avec l'exemple proposĂ©, on a une preuve nouvelle du bien fondĂ© de la dĂ©finition de Bennett la complexitĂ© structurelle d'un objet fini Ob se mesure par le temps de calcul de son programme le plus court», ou, dans la version plus tolĂ©rante de la dĂ©finition de Bennett, par le temps de calcul des programmes courts que produisent Ob». Il existe peut-ĂȘtre d'autres procĂ©dĂ©s formels non illusoires donnant un sens Ă  la maxime d'Aristote, mais celui qui s'appuie sur la profondeur logique de Bennett appliquĂ©e Ă  l'association de deux objets structurĂ©s et corrĂ©lĂ©s est probablement central du fait de sa place au sein de la thĂ©orie algorithmique de l'information qui est la thĂ©orie la plus gĂ©nĂ©rale de l'information. Dans les systĂšmes complexes, comme les sont les organismes vivants ou les Ă©cosystĂšmes, les interdĂ©pendances font qu'on est le plus souvent dans une situation semblable Ă  celle des images A, B et C. Ce qui est apparu dans un premier temps l'exception y devient la rĂšgle. La complexitĂ© du "tout" mesurĂ©e par la profondeur logique de Bennett est donc, dans de telles structures, supĂ©rieure Ă  la somme des complexitĂ©s des "parties". Bien Ă©videmment, Aristote ne pensait pas Ă  la profondeur logique de Bennett, mais il me semble qu'aujourd'hui pour donner un sens technique Ă  son intuition —et il ne faut jamais renoncer Ă  de tels objectifs—, la meilleure mĂ©thode possible est de l'Ă©voquer. Qu'il ait fallu deux mille ans pour que l'intuition du Stagirite trouve une forme mathĂ©matique robuste et devienne l'objet de science, n'est-ce pas la preuve, encore une fois, de son exceptionnel gĂ©nie ! Sur la cryptographie visuelle voir Sur la profondeur logique de Bennett voir

Disonsle d’emblĂ©e : mĂȘme si vous comptez parmi les amateurs d’Orson Welles, vous n’aurez pas autant de plaisir Ă  revoir Citizen Kane qu’à voir Citoyen K.En 60 minutes, la piĂšce de la compagnie La TrĂąlĂ©e – qui nous avait prĂ©cĂ©demment offert le dĂ©licieux Rashƍmon – rĂ©sume plus qu’efficacement le film de 1941. Le moins qu’on puisse dire, c’est que la mise en

Les participants mettent en avant la force engendrĂ©e par la mise en commun de compĂ©tences variĂ©es et complĂ©mentaires. Il est question des approches, des idĂ©es et des pistes auxquelles ils n’avaient pas pensĂ© et que les collĂšgues leur donnent, ou qu’eux-mĂȘmes transmettent Ă  leurs collĂšgues. Travailler en Ă©quipe, ça donne beaucoup plus d’idĂ©es. Ça permet de confronter tes mĂ©thodes de faire, tes idĂ©es, tes façons de rĂ©flĂ©chir. Puis ça permet aussi d’augmenter ce qu’on est capable de faire. C’est sĂ»r qu’à plusieurs on peut faire beaucoup plus qu’à seul. [ES3 43;43] Ils expriment l’enrichissement amenĂ© par le regard extĂ©rieur et objectif que les pairs portent sur la situation dans laquelle on manque d’outils, ou encore lorsqu’on n’a plus assez de recul. Oui, puis la richesse du regard de quelqu’un qui est pas dans tes bottines et dans tes lunettes, ça c’est intĂ©ressant. [CP2 96,98] Chacun s’enrichit par ce que lui amĂšne l’autre 
 Alors les effets d’ĂȘtre associĂ©e avec les enseignants, c’est qu’ils me connaissent, je fais partie de leurs projets. Je ne suis pas que la directrice qui donne des diplĂŽmes ou qui dispute quelqu’un. C’est les autres qui me font grandir et c’est moi par l’apport que je leur donne. [DS1 30;30] Chaque membre amĂšne les compĂ©tences qui lui sont propres et Ă©largit ainsi les compĂ©tences individuelles des autres membres. La combinaison de toutes ces compĂ©tences rĂ©unies et de leurs interactions amĂ©liore la connaissance globale de la communautĂ© le tout est plus que la somme des parties. 
 cette synergie-lĂ  qui est créée par l’équipe, ce que j’appelle le 1+1=3 », bien tout le monde peut en profiter. Et ça les gens le savent et c’est la raison pour laquelle ils sont si gĂ©nĂ©reux. [PC2 32 32] La pratique Les participants parlent de la pratique sous plusieurs aspects  l’amĂ©lioration continue  la fluiditĂ© des savoirs  la production de ressources communes  les apprentissages concrets sur le terrain- concrĂ©tisation des apprentissages AmĂ©lioration continue Si l’amĂ©lioration continue qu’amĂšne le travail en CAP est perçue comme un cheminement pĂ©dagogique commun [DP4 90;90] » par de nombreux participants, ils identifient toutefois son appropriation sur diffĂ©rents plans  Sur le plan organisationnel amĂ©lioration de la planification, du rendement de travail, anticipation, gain de temps, meilleure structuration des programmes, clarification de la structure, des objectifs et des rĂŽles. Ce que ça donne de plus dans notre cas, c’est un programme qui est plus intĂ©grĂ©, un programme plus solide, mieux construit, qui tient compte de toutes les disciplines 
. [EC1 43;43]  Sur le plan pĂ©dagogique utilisation plus adĂ©quate et meilleure comprĂ©hension des approches, comme l’évaluation des Ă©lĂšves par exemple, feedback de ce qui se passe en classe par les pairs, unification des objectifs. Le plus important pour moi, c’est quand je m’aperçois l’impact que la communautĂ© de pratique a sur les pratiques d’enseignement des enseignants 
.Quand je m’aperçois que les profs connaissent beaucoup mieux les dĂ©marches Ă  caractĂšre scientifique, comment les mettre en Ɠuvre, l’approche par projet, par exemple, ils connaissent c’est quoi aussi et comment mettre en Ɠuvre l’approche, c’est beaucoup plus clair dans leur tĂȘte et on voit dans la planification les situations qu’ils font auprĂšs des Ă©lĂšves que c’est mieux structurĂ©, c’est mieux fait, ils sont capables de justifier le pourquoi ils ont choisi telle dĂ©marche ou telle approche et de discuter des apports et des limites, de nous amener des questionnements aussi au groupe, alors lĂ  je vois vraiment que les enseignants ont fait un bon bout de chemin par rapport Ă  leur pratique d’enseignement 
 [CP1 60;60] Ensuite de ça, travailler en Ă©quipe avec les enseignants a assurĂ©ment un impact sur leurs pratiques en classe et sur l’accompagnement des enseignants. Souvent, on allait observer une pĂ©riode ou un aprĂšs-midi quand il y avait des Ă©lĂšves plus difficiles et suite Ă  ça, on faisait des commentaires et des recommandations que le prof ne peut pas voir quand il s’occupe de 28 amis. Ça les aide Ă  implanter certaines mesures et de notre cĂŽtĂ© on peut crĂ©er des outils 
 [PP2 30;30]  Sur le plan relationnel facilitation des liens, facilitations des contacts et du rĂ©seautage, meilleure connaissance de ce qui se passe dans les autres classes, amĂ©lioration du climat de l’école. Par rapport Ă  mes rapports avec les enseignants, avec l’équipe, c’est certain que quand on travaille avec quelqu’un, on apprend Ă  mieux le connaĂźtre. C’est beaucoup plus facile aprĂšs d’interagir avec cette personne-lĂ . Sur le climat de l’école aussi, ça donne un climat qui est vraiment meilleur parce que quand on a un dĂ©fi comme ça de travail d’équipe, on dirait qu’on travaille tous dans la mĂȘme cause. Ça devient intĂ©ressant, on est motivĂ©s, on a le goĂ»t d’ĂȘtre lĂ , on Ă©change donc ça devient vraiment, vraiment agrĂ©able. Le climat de l’école est encore meilleur. [ES3 29;30]  Sur le plan intellectuel passage d’une pratique intuitive Ă  une pratique plus conscientisĂ©e, examen en dĂ©tail et analyse des concepts, ouverture Ă  de nouvelles techniques et technologies et Ă  de nouvelles pratiques. 
 DerniĂšrement, j’ai vu quelque chose que je ne connaissais pas, c’est un logiciel qui s’appelle Mouse Cheese ». C’est avec des souris sans fil qui sont branchĂ©es et dont l’élĂšve se sert pour rĂ©pondre Ă  des questions sur le tableau blanc interactif Ă  leur place. C’est une enseignante qui n’est pas une adepte de l’informatique qui s’est appropriĂ© ça. Donc ça, Ă  ce niveau-lĂ , je m’aperçois qu’il y a un grand cheminement qui a Ă©tĂ© fait. [DP2 141;141] En fait, je m’appuie sur des fondements didactiques qui sont plus solides, plutĂŽt que sur mon intuition parce que, par exemple pour accompagner les enseignants. Depuis quatre, cinq ans c’est un gros, gros changement au niveau du rĂŽle. 
 [CP1 65;65]  Sur le plan professionnel amĂ©lioration de la confiance et du sentiment de compĂ©tence, passage de la perception de l’évaluation du sommatif au formatif. 
 il y a deux ans, une Ă©quipe ne fonctionnait pas bien. Il n’y avait pas de lien de confiance au sein de l’équipe, il n’y avait pas de respect, pas d’entraide ou de collaboration. J’ai pris un temps d’arrĂȘt avec l’équipe. 
. Donc, ça a Ă©tĂ© de faire une petite rĂ©organisation, la semaine suivante, lorsque j’ai rencontrĂ© l’équipe Ă  nouveau. On ne parlait pas de rĂ©sultats d’élĂšves, c’était pas important. Aussi, je leur avais apportĂ© une lecture par rapport Ă  la confiance et la collaboration. 
 À partir de ce moment-lĂ  c’est devenu une Ă©quipe trĂšs, trĂšs productive. Pour moi ça a Ă©tĂ© un moment important afin qu’une Ă©quipe fonctionne bien et qu’ils dĂ©veloppent, Ă  nouveau, leur confiance. [DP4 84;84] La notion d’évaluation entre dans le discours des participants Ă  ce niveau de la pratique. Ils relĂšvent une Ă©volution du mode de pensĂ©e les craintes liĂ©es Ă  l’évaluation de la pratique sont dĂ©passĂ©es Ă  travers l’expĂ©rience de la CAP. Le conseiller pĂ©dagogique est ici perçu comme une ressource aidante, un guide et non plus un expert qui juge qui peut aider Ă  donner du sens aux actions professionnelles par la valorisation de chacun. Moi j’pense que les enseignants ont souvent senti qu’ils devaient avoir la bonne rĂ©ponse du premier coup. 
 faut montrer que, dans le fond, les erreurs sont des petites erreurs, parce qu’on sait bien que ça se rĂ©pare trĂšs facilement, qu’on peut faire des choses puis que les p’tites erreurs du dĂ©but peuvent ĂȘtre corrigĂ©es et amĂ©liorĂ©es, ça fait partie de l’apprentissage, que maintenant ils ne sont pas juste des dĂ©verseurs de savoirs, mais qu’ils travaillent auprĂšs de l’élĂšve et qu’ils cherchent Ă  les faire grandir eux autres aussi, qu’ils participent Ă  l’apprentissage des Ă©lĂšves, ça c’est difficile 
 [EP1 81;81] FluiditĂ© des savoirs Partager ses connaissances et les faire circuler sont des actions caractĂ©ristiques significatives de la CAP relevĂ©es dans le discours des participants. C’est lĂ  qu’on partage nos succĂšs, nos inquiĂ©tudes, qu’on apporte nos propos des nouvelles technologies et qu’on discute des nouvelles approches Ă  intĂ©grer dans nos salles pour s’assurer de maximiser l’apprentissage des Ă©lĂšves. Donc on regarde nos dĂ©fis et nos rĂ©ussites et on essaie beaucoup d’échanger sur ce qu’on fait dans nos cours pour partager nos approches. [ES5 7;7] Selon eux, le fait d’ouvrir ses connaissances aux autres et de rendre fluide leur circulation au sein de la communautĂ© rend possible leur transposition aux pratiques et leur application aux tĂąches professionnelles de chacun. Je pense que les bienfaits, c’est vraiment la mise en commun de façons de faire. Ne pas rester cloĂźtrĂ©s dans sa classe avec ses pratiques. Donc c’est un partage. Nous ça nous permet de dire, bon, toi tu en es rendu oĂč, on s’en va vers quoi d’ici la fin de l’étape, en quoi tes Ă©lĂšves ont des problĂ©matiques, qu’est-ce qu’on pourrait faire pour les aider, donc c’est vraiment un partage des connaissances et des pratiques. [EP4 24;24] 
 je dois amener certains rĂ©sultats de la recherche, je dois amener les savoirs de la recherche, c’est ma responsabilitĂ© d’amener un peu ces savoirs-lĂ , ces rĂ©sultats de la recherche-lĂ  et de les croiser avec les savoirs de la pratique pour construire quelque chose, des solutions meilleures pour amĂ©liorer les pratiques d’enseignement et la rĂ©ussite chez les Ă©lĂšves. 
 [CP1 65;65] La diffusion et la mise en commun des façons de faire Ă©tablissent une cohĂ©rence d’intervention qui simplifie le fonctionnement scolaire. Ça [le travail en communautĂ©] permet de faire circuler l’information, ça permet de crĂ©er des choses parce que souvent c’est une idĂ©e de quelqu’un qui fait qu’on amĂ©liore les choses. [DC1 27;27] Les nouveaux enseignants sont accompagnĂ©s par l’équipe et bĂ©nĂ©ficient de son expĂ©rience. On y gagne en efficacitĂ©, on peut se baser sur les rĂ©flexions des autres. Les nouveaux concepts, les mĂ©thodes didactiques sont autant d’exemples des savoirs transmissibles et intĂ©grables Ă  la pratique en classe. Nous on a parti une communautĂ© de pratique avec une dizaine d’enseignants et d’orthopĂ©dagogues oĂč on a enseignĂ© justement ces principes-lĂ , des principes didactiques, comment intervenir auprĂšs des Ă©lĂšves Ă  risque et les enseignants ont intĂ©grĂ© ces principes-lĂ  dans les situations qu’ils avaient Ă  enseigner auprĂšs des Ă©lĂšves, des situations qui permettent de plus dĂ©velopper le potentiel 
. [CP1 74;74] En fait ils ont accĂšs Ă  de l’information beaucoup plus construite parce qu’en arriĂšre de moi, il y a un rĂ©seau qui y a rĂ©flĂ©chi. 
 je peux me baser sur ce qu’ils ont fait aussi, et ça c’est gagnant parce que quand je viens pour proposer des nouveaux projets ou des nouvelles idĂ©es, bien si quelqu’un de ma communautĂ© l’a fait avant moi, je peux voir venir les questions, les hĂ©sitations et les freins aussi, alors je peux mieux y rĂ©pondre. Quand on a des questions et on se heurte Ă  un problĂšme, bien plutĂŽt que de chercher sur tout le web au complet, je cherche auprĂšs de ma communautĂ© et leur dire par exemple que tel prof de socio a un problĂšme, qu’est-ce qu’on fait avec ça. 
. C’est sĂ»r que ça a un impact sur sa pratique parce qu’on a accĂšs Ă  des gens spĂ©cialisĂ©s de partout. [PC1 36;36]
Lanote moyenne des étudiants était plus basse (14,19) que celle des remplaçants (15,68). Cette différence est significative (p#lt# 0,05).
Un des intuitions les plus courantes associÂŽees `a la dÂŽefinition de l’®emergence est que le tout peut ˆetre supÂŽerieur `a la somme de ses parties. Un grand nombre de travaux sur l’®emergence ont cherchÂŽe `a donner un sens plus prÂŽecis `a cette intuition. Searle Searle [Sea92, page 111] diffÂŽerencie deux niveaux d’®emergence. Ces deux niveaux sont principalement distinguÂŽes par les termes de composition10 et d’interaction “Suppose we have a system, S, made up of elements a,b,c . . . For example, S might be a stone and the elements might be mo-lecules. In general, there will be features of S that are not, or not necessarily, features of a,b,c . . . [...] Let us call such features system features. [...] Some system features can be deduced or figured out or calculated from the features of a,b,c . . . just the way these are composed and arranged [...] But some other system features cannot be figured out just from the composition of the elements and environmental relations ; they have to be explained in terms of the causal interactions among the elements. Let’s call thesecausally emergent system features. [...] On these definitions, consciousness is a causally emergent property of systems. [...] 10 le sens de composition correspond au lien entre un syst`eme et ses composants, mais pas au sens de la composÂŽee de deux fonctions This conception of causal emergence, call itemergent1, has to be distinguished from a much more adventurous conception, call it emergent 2. A feature is emergent 2 iff F is emergent 1 and F has causal powers that cannot be explained by the causal interactions of a,b,c . . . ” Searle distingue 1. Une caractÂŽeristique est dite “du syst`eme” si elle ne caractÂŽerise aucun ÂŽelÂŽement isolÂŽe du syst`eme. 2. Une caractÂŽeristique du syst`eme est ÂŽemergente 1 si sa rÂŽeduction nÂŽecessite de prendre en compte les interactions et pas seulement les compositions. 3. Une caractÂŽeristique du syst`eme est ÂŽemergente 2 si elle est ÂŽemergente 1 et qu’elle n’est pas non plus rÂŽeductible en tenant compte des inter-actions entre les parties. Corning Corning [Cor02, page 9] propose de dÂŽefinir l’®emergence `a partir de la notion desynergie. Il s’agit du cas o`u “the combined cooperative effects that are produced by two or more particles, elements, parts or organisms – effects that are not otherwise attainable” On peut alors dire que le tout estdiffÂŽerent de la somme des parties sans lui ˆetresupÂŽerieur. On retrouve l’idÂŽee d’interactions entre les parties. L’®emergence est alors considÂŽerÂŽee comme le sous-ensemble des effets sy-nergiques qui montre une nouveautÂŽe qualitative. Il dÂŽecrit cette situation comme celle o`u les parties s’adaptent pour constituer un tout, fait de parties diffÂŽerentes. L’article concernant “synergy” dans le “New Oxford American Dictio-nary” [McK05] donne la dÂŽefinition suivante “the interaction or cooperation of two or more organizations, substances, or other agents to produce a combined effect greater than the sum of their separate effects” Un exemple donnÂŽe par Corning est celui d’une voiture, constituÂŽee de toutes ses pi`eces. SÂŽeparÂŽees, elles ne font rien, une fois assemblÂŽees elles donnent lieu `a une synergie, c’est `a dire un vÂŽehicule roulant. Cet exemple sert `a montrer que cette organisation n’a pas `a ˆetre auto-organisation pour Voyelles Dans le cadre de la visionVoyelles des syst`emes multi-agent [Dem95], le syst`eme est dÂŽecomposÂŽe en 4 composantes Agents, Environnement, Inter-actions et Organisations. Dans la description habituelle de ce mod`ele, trois principes sont construits sur ces composantes. SM A=A+E+I+O SM A=A Le dernier principe dÂŽecrit le rÂŽesultat du syst`eme en dÂŽefinissant l’®emergence comme un ÂŽelÂŽement rendant cette description non linÂŽeaire11. FSM A =FA +FE +FI +FO +emergence Il s’agit ici de l’affirmation de la possibilitÂŽe d’une supÂŽerioritÂŽe de la fonc-tion du tout sur les foncfonc-tions des diffÂŽerentes entitÂŽes le composant. Toutefois, il ne s’agit que d’une description de haut niveau des syst`emes multi-agent qui ne garantit pas qu’un mod`ele correspondant `a la vue en Voyelles puisse exhiber cette propriÂŽetÂŽe. AMAS/ADELFE Une autre proposition que nous classons dans cette partie est celle de la mÂŽethodologie ADELFE. Cette mÂŽethodologie a pour objectif d’aborder le dÂŽeveloppement de SMA `a fonctionnalitÂŽe ÂŽemergente. Le postulat sur lequel se fondent la thÂŽeorie et la mÂŽethodologie est qu’un syst`eme fonctionnellement adÂŽequat est un syst`eme dans lequel les situations de non coopÂŽeration sont ÂŽevitÂŽees. Le coeur de la mÂŽethodologie est l’identification des situations non coopÂŽeratives. A partir de la description des agents et de leurs interactions, des classes de situations non coopÂŽeratives sont identifiÂŽees comme les situa-tions gÂŽenÂŽeriques identifiÂŽees dans [Cam98] auxquelles peuvent s’ajouter des situations spÂŽecifiques `a l’application. A chacune de ces classes est associÂŽe un traitement permettant de restaurer la situation coopÂŽerative. Cette situation correspond `a un avantage collectif car la base de la mÂŽethodologie est qu’un syst`eme coopÂŽeratif est supÂŽerieur `a un syst`eme qui ne l’est pas. Cette idÂŽee est dÂŽeclinÂŽee dans de nombreuses applications sur lesquelles les notions de situations non coopÂŽeratives sont illustrÂŽees. 11 Formalisation de Kubik Kubik [Kub03] a proposÂŽe une approche formelle de cette idÂŽee de supÂŽerioritÂŽe du collectif sur les individualitÂŽes. Cette approche est fondÂŽee sur la modÂŽelisation des agents sous la forme d’ensemble de r`egles formant une grammaire de tableaux isomÂŽetriques [DFP95, FF96]12. L’approche consiste en trois ÂŽetapes 1. Les agents sont dÂŽecrits `a l’aide de r`egles de grammaire. 2. Deux syst`emes sont dÂŽefinis dont l’un correspond au tout et l’autre `a la somme des parties. 3. Ces deux syst`emes engendrent deux langages. Le cas d’®emergence est celui o`u le langage du tout inclut strictement celui de la somme des parties. Les langages engendrÂŽes peuvent ˆetre vus comme les mondes accessibles par le syst`eme. Nous dÂŽetaillons l’approche adoptÂŽee. DÂŽefinitions Soit V = VT âˆȘVN un alphabet constituÂŽe de terminaux et non-terminaux. Une grammaire formelle est dÂŽefinie comme un quadruplet G= VN, VT, S, P avec S l’axiome le non-terminal initial et P l’ensemble des productions. Une production dÂŽecrit comment rÂŽeÂŽecrire un non-terminal avec une ÂŽeventuelle condition de contexte. Kubik dÂŽefinitun syst`eme de grammaire coopÂŽeratif G= VN, VT, S, P1, . . . , Pn avec les productionsPi qui dÂŽefinissent l’agent i. Contrairement aux grammaires formelles habituelles, les r`egles de rÂŽeÂŽecriture ne modifient pas une chaˆıne de symboles mais un tableau `a deux dimensions. Une propriÂŽetÂŽe d’isomÂŽetrie est requise pour les r`egles afin d’®eviter le probl`eme de dÂŽecider comment ÂŽetendre le tableau. Nous donnons un exemple pour clarifier ce point. ConsidÂŽerons la r`egle de rÂŽeÂŽecriture suivante X X X X X X − {z } α → − − − {z } ÎČ 12 On peut maintenant rÂŽeÂŽecrirex en y X X X X X X X X X X X X − X X {z } x ⇒ −X X X −X X X − X X {z } y L’hypoth`ese d’isomÂŽetrie sur les r`egles permet d’®eviter le cas suivant qui pose un probl`eme X X X − {z } α → − − − {z } ÎČ Cette r`egle nÂŽecessite l’ajout de trois positions et un changement de la taille du tableau. De plus, il y a un choix `a faire entre les deux dÂŽerivations sui-vantes X X X X X X X X X X X X − X X {z } x ⇒ X X X − X X X − X X X − X X {z } y OU X X X X X X − X X X − X X − {z } yâ€Č A partir d’une grammaire et d’une configuration initiale S, Kubik dÂŽefinit – LSM A comme l’ensemble des configurations accessibles par appli-cations de productions contenues dansSiPi surS – Lsomme comme lasuperimposition denensemblesLi o`u chaqueLi est l’ensemble des configurations accessibles par applications de produc-tions dansPi surS Nous renvoyons le lecteur au travail original [Kub01] s’il est intÂŽeressÂŽe par la dÂŽefinition de l’opÂŽerateur de superimposition. Alors la propriÂŽetÂŽe d’®emergence est vraie quand ∃w∈LSM A, w /∈Lsomme =superimpositioniLi Probl`emes posÂŽes Le premier probl`eme que pose cette approche est celui de l’expression des syst`emes l’utilisation de r`egles de grammaires n’est pas forcÂŽement la mÂŽethode de description d’agents la plus aisÂŽee mais surtout il est difficile de savoir ce qui incarne un agent dans une configuration un agent est un ensemble de productions. Le second probl`eme est celui de la dÂŽecidabilitÂŽe pour dire d’une configu-ration qu’elle ÂŽemerge, il faut pouvoir engendrerLSM A mais aussi montrer de tester l’appartenance du mot `a la superimposition de diffÂŽerents langages qui n’est pas traitÂŽee par Kubik. Finalement, nous donnons ici une lecture critique mais qui nous semble invalider du moins partiellement les exemples de populations homog`enes utilisÂŽes par Kubik. Pour une population homog`ene, tous les agents par-tagent le mˆeme ensemble de r`egles ∀iPi = P = SiPi. On a alors ∀iLi =LM AS. Par ailleurs, superimpositionA, A =A ce qui implique que superimpositioniLi = LM AS. Finalement, LM AS = Lsomme et l’emergence n’a pas lieu dans le syst`eme. Kubik fournit une tentative de formalisation de l’®emergence intÂŽeressante qui repose essentiellement sur la commutation entre deux opÂŽerations for-mer le syst`eme avec ses composants composition et mettre ce syst`eme en marche exÂŽecution. En rÂŽesumÂŽe, l’®emergence de Kubik correspond au cas o`u des ÂŽetats de monde ne sont accessibles qu’`a travers l’interaction de plusieurs agents. En commutant les opÂŽerations de composition et d’exÂŽecution, son travail aboutit ` a une forme de non linÂŽearitÂŽe qui lui permet de dÂŽefinir des ÂŽetats comme ÂŽemergents. Conclusion et Position SMA L’ensemble des travaux qui constituent cet axe met l’accent sur la possibilitÂŽe d’un gain apportÂŽe par l’interaction dans le syst`eme. Les tra-vaux de Kubik peuvent certainement ˆetre envisagÂŽes comme une distinc-tion entre un syst`eme parall`ele o`u les diffÂŽerents processus ne s’influencent pas et un syst`eme concurrent o`u les interactions servent `a atteindre l’ob-jectif. L’approche d’ADELFE consiste `a concentrer l’effort de conception sur les situations non coopÂŽeratives qui correspondent `a des interactions dÂŽefaillantes ; aussi on peut voir cette proposition comme une distinction entre un syst`eme avec coopÂŽeration qui pourrait ˆetre comparÂŽe avec un syst`eme sans coopÂŽeration. Dans un mˆeme ordre d’idÂŽee, Searle dÂŽefinit diffÂŽerentes ÂŽemergences selon le degrÂŽe de collectivitÂŽe entre composition et interaction. Le probl`eme central semble ˆetre le suivant les approches informelles permettent de donner un principe de fonctionnement de l’®emergence sans permettre directement de distinguer l’®emergence et servent plus `a orienter le processus de conception du syst`eme ; `a l’inverse les tentatives d’approches formelles semblent tr`es restrictives par le mod`ele d’agents qu’elles imposent. Dans un mod`ele multi-agent, cette approche correspond `a l’importance du collectif, au multi de multi-agent. Msor6.
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