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Publié le 04/08/2018 à 1758 , mis à jour à 2124 Environ 500 personnes ont manifesté samedi à Nantes pour soutenir les migrants expulsés fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycée où des associations leur venant en aide les avaient installés, a constaté l'AFP. Le cortège, composé de migrants et de militants, a défilé dans le centre-ville à l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternité" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, où un campement de plusieurs centaines de migrants avait été évacué fin juillet mais où des tentes ont de nouveau été installées, s'est déroulée sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dénonce "les expulsions des lieux réquisitionnés par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'équipements publics mis à leur disposition et de distribution d'eau potable malgré la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il réclame l'arrêt des expulsions et la mise à l'abri des migrants présents à Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'Érythrée, avaient été évacués du square Daviais à la demande de la préfecture. Le campement y était installé depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire préoccupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La présence de rats et des cas de gale avaient été signalés. "147 personnes, les plus vulnérables, ont pu se voir proposer un hébergement à cette occasion", a précisé la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont été évacués de l'ex-lycée qu'ils avaient occupé après avoir été expulsés une première fois, cette fois à la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycée Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en école, soit occupé", avait précisé Aïcha Bassal, adjointe à la mairie de Nantes, dans un communiqué. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignée de tentes mi-juin, s'est agrandi après les évacuations successives de deux bâtiments privés squattés, et au gré d'arrivées depuis l'Italie ou l'Espagne de réfugiés, essentiellement soudanais et érythréens. Le département de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontés à "une évolution significative des flux depuis fin février", selon les autorités. Les demandes d'asile ont ainsi augmenté de 28% en un an, là où d'autres grandes villes ont enregistré des baisses.

Collectifde Soutien aux Sans Papiers 49 Une plateforme d'information sur la situation des migrants et des demandeurs d'asile en Maine-et-Loire. Porter un regard critique sur les réalités vécues par les migrants et faire respecter leurs droits. mardi 25 février 2014. Le film documentaire "Se battre" Du 4 au 10 mars, le film documentaire "Se battre" des réalisateurs Ils sont arrivés de Guinée, de Côte d’Ivoire, du Cameroun ou du Ghana. Ils ont fui la violence », la misère » ou la persécution politique ». Depuis près de cinq ans, trente à quarante migrants, demandeurs d’asile ou en situation régulière, vivent entassés dans une maison privée de 110 m2 désaffectée, rue des Trois-Rois, quartier Doulon à conditions de vie, déjà très inconfortables, sont devenues intenables » il y a un mois avec la coupure de l’électricité à la suite d’un début d’incendie. Il n’y a ni eau chaude, ni chauffage, ni lumière. C’est l’un des pires squats de l’agglomération nantaise », déplore Karine, du collectif Soutien aux migrants Nantes. Je sens que la situation est explosive »Alia, Guinéen de 22 ans, dort depuis un an dans une remise au fond de la cour. Il fait froid, on ne mange pas toujours comme il faut, on doit cohabiter. C’est difficile. Mais c’est mieux que d’être dehors. » La France est une référence pour la démocratie. On ne s’attendait pas à cet accueil, à ces conditions de vie. On a besoin d’aide pour préserver notre santé », implore Sylla, 29 ans, originaire de Guinée lui aussi. » Alia, Guinéen de 22 ans, devant la cuisine du squat des migrants de Doulon. - collectif réclame à l’Etat de prendre ses responsabilités » en relogeant ces migrants. A défaut, il souhaite que la mairie puisse prendre en charge les frais d’électricité du squat, dépense que les bénévoles ne peuvent pas assumer. Ces jeunes ne voient que des portes fermées et perdent espoir. Je sens que la situation est explosive » s’alarme Vincent, membre du squat n’a pas vocation à perdurer », affirme la villeL’impatience s’exprime aussi du côté de certains riverains. Nous sommes contre la remise en service de l’électricité, alerte une voisine. Nous demandons à la ville d’ouvrir une procédure d’insalubrité et de fermer la maison. Ces gens ne peuvent pas rester dans un endroit aussi indigne. » Leur situation est inimaginable. Les pouvoirs publics doivent faire quelque chose », rapporte Joël Coudriau, président du conseil syndical de la résidence cour du squat des Trois-Rois, quartier Doulon à Nantes. - La situation de ce squat est connue. Il n’a pas vocation à perdurer », répond la mairie de Nantes qui indique travailler à la mise en place de baux précaires » pour reloger tout ou partie des migrants des Trois-Rois. Environ 300 migrants en squatsSur l’ensemble de la ville, environ 300 migrants vivent actuellement dans une demi-douzaine de squats, à Chantenay, au Vieux-Doulon, à Nantes-Sud ou sur l’île de Nantes, selon le collectif. Le dernier d’entre eux est une ancienne maison de retraite du quartier Graslin occupée par plus d’une centaine de personnes. On les accompagne tant bien que mal mais ça ne suffit pas. Il faut la tenue urgente d’une table ronde réunissant la préfecture, la ville et tous les acteurs concernés par le sujet », insiste le collectif Soutien aux migrants Nantes. La municipalité demande, elle aussi, l’organisation d’une telle table ronde.
Quelque261 migrants ont été évacués par les forces de l'ordre ce matin à Nantes d'un ex-lycée qu'ils occupaient après avoir été expulsés fin
A l'appel du collectif de soutien aux jeunes migrants, des associations et des syndicats, 800 personnes manifestaient ce samedi 9 décembre, à Nantes. Depuis le 22 novembre des étudiants et des militants associatifs occupent des locaux du campus et hébergent de jeunes migrants isolés. C'est mardi dernier que le tribunal administratif a ordonné l'expulsion des locaux. C'est une " décision administrative inhumaine " estime l'intersyndicale CGT-Solidaires-FSU-Unsa-CFDT " Ces occupations ont pour but d’héberger des mineurs et de dénoncer l’inaction et l’hostilité des pouvoirs publics. Le Conseil départemental et la préfecture doivent trouver des solutions durables et humaines pour ces personnes dans la précarité et la détresse. Les reléguer dans la rue serait criminel. C’est pourquoi la présidence de l’université doit maintenir l’hébergement provisoire de mineurs tant que les pouvoirs publics n’auront pas mis en place des solutions pérennes." Plusieurs centaines de personnes manifestaient à Nantes en réponse à l'ordonnance d'expulsion du tribunal administratif. migrants Nantes F3PaysdelaLoire manif en soutien aux mineurs isolés et migrants dans le calme. Vincent RAYNAL VRAYNAL_FR3PDL 9 décembre 2017 migrants Nantes F3PaysdelaLoire Solidarité avec les sans papiers scandent les manifestants retour en bas du cours des 50 otages Vincent RAYNAL VRAYNAL_FR3PDL 9 décembre 2017 12bis rue des Carmélites 44000 Nantes. Collectif pour la création de maisons d’accueil pour toutes et tous : AC, ANADE, ASAMLA, ATD Quart Monde, CIMADE, CSF, DAL, EMMAUS, GASPROM, GREF, LDH, LOGIS SAINT JEAN, MRAP, RESF, collectif Urgence Jeunes 44 et collectif soutien migrants Nantes. Contact : case44000@yahoo.fr. Lire la suite → Se connecter Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte Récupération de mot de passe Récupérer votre mot de passe Un mot de passe vous sera envoyé par email. Accueil Actualités Abonnement Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Achetez le journal Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Découvrir Ce samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Annonces légales Petites Annonces Marchés publics Contact Contactez la rédaction Contactez le service abonnement Contactez le service publicité Service annonces judiciaires et légales Mohamed, Véronique Paviet, Sandra Blanchet et Modibo, à samedi 16 février, un stand inhabituel se tient sur le marché. Le collectif Solidarité migrantes du Lochois est présent pour expliquer ses actions et chercher de nouvelles familles d’accueil. Créé à la fin de l’été dernier, ce collectif vient de mettre en place un groupe de parole psychologique pour les jeunes immigrés accueillis sur […] Articles populaire À la une Restez Connectés Abonnez vous Al'appel du collectif de soutien aux jeunes migrants, des associations et des syndicats, 800 personnes manifestaient ce samedi 9 décembre, à Nantes. Par Evelyne Jousset Publié le 09/12/2017 à Un collectif de migrants à Marseille à déposé plainte aujourd’hui contre l’affaire Steve, le jeune qui s’est noyé à Nantes lors de la dernière fête de la musique en juin dernier. Nous souhaitons que notre vécu soit respecté, nous imiter est une profonde preuve d’irrespect contre ce que nous vivons dans la mer méditerranée. Le collectif La justice a été saisie par le collectif de migrants noyés en méditerranée afin de dénoncer la copie illégitime » de l’action de noyade par le jeune Steve à Nantes. D’après le porte parole de l’association marseillaise imiter les actions des migrants dans la méditerranée n’est pas un acte neutre, depuis les décès dans la mer du sud, l’action de noyade est ancrée dans les têtes comme étant une action majoritairement effectuée par des migrants. » Le président de l’association a décidé de porter plainte, mais la famille de Steve se défend déjà en expliquant que Steve n’est pas tombé d’une embarcation et en plus Steve n’était pas Syrien, donc rien à voir malgré la similitude de l’acte de noyade, mais nous n’accepteront pas que l’acte de noyade soit désormais copyrighté par les migrants, c’est inacceptable » Une manifestation de soutien aux noyés non migrants sera organisée dans la piscine municipale de Notre-Dame des Landes ce samedi à 18h, à l’appel de la famille de Steve.
Environ500 personnes ont manifesté samedi à Nantes pour soutenir les migrants expulsés fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycée où des associations leur venant en aide les avaient installés, a constaté l'AFP.Le cortège, composé de migrants et de militants, a défilé dans le centre-ville à l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil
Plusieurs bénévoles venus de Clisson et ses alentours se mobilisent pour venir en aide aux migrants à Nantes. Leur objectif servir un repas chaque semaine. Par Hervé Pavageau Publié le 3 Août 18 à 1625 L'Hebdo de Sèvre et Maine Fanny et Julien souhaitent désormais poursuivre leur action en faveur des migrants. ©L’Hebdo de Sèvre et Maine C’est avec les petits grains de riz qu’on fait les grandes salades ». Pour démontrer qu’avec un peu d’entraide, il est possible de faire de grandes choses, plusieurs bénévoles de l’association Bouillon Collectif en appellent à la générosité des habitants du Vignoble, afin de venir en aide aux migrants de Nantes. Evacués du square Daviais le 23 juillet, ce sont plus de 400 exilés qui se retrouvent souvent en situation leur apporter soutien et nourriture, plusieurs associations se mobilisent chaque jour. C’est le cas également de plusieurs citoyens clissonnais, qui ont souhaité apporter leur pierre à l’édifice. Je suis le parcours de ces exilés depuis qu’ils étaient à l’EHPAD à Nantes », raconte Fanny, qui espère interpeller le plus grand nombre On n’a pas besoin d’être un militant actif, intégré à Nantes, pour apporter son grain de riz ».Avec la Petite Maison Utopique, bar associatif clissonnais, ils ont décidé de lancer une collecte auprès des habitants, leur permettant ensuite de préparer un repas chaud pour ces exilés de Nantes. En lien étroit avec l’Autre Cantine, association nantaise, les bénévoles ont pu distribuer lundi dernier près de 400 repas, ainsi que des produits d’hygiène, au sein d’un lycée nantais où les migrants ont été première pour ces Clissonnais, qui entendent désormais poursuivre leur action chaque lundi qui souhaitent désormais poursuivre cette action chaque lundi. L’association collecte gaz, semoule, riz, pâtes, huiles, légumes… Possibilité de déposer vos denrées le vendredi matin à la Petite Maison Utopique, en bas des Halles de Clisson. Renseignements au 06 78 81 43 26. Une cagnotte en ligne sera bientôt disponible pour participer aux repas. Renseignements par mail [email protected]Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre L'Hebdo de Sèvre et Maine dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Desréfugiés, des demandeurs d’asile, des sans-papiers, essentiellement Africains, soutenus par le Collectif Uni-e-s contre une immigration jetable, ont organisé une « marche des survivants », ce samedi matin. Ils étaient 300 à défiler dans Nantes pour cet hommage aux centaines de migrants morts dans la traversée de la Méditerranée.
Le camp de migrant qui s'est installé dans le square Daviais à Nantes. CrowdSpark Les associations de la ville de Nantes ont alerté la ville et l'État à propos d'un campement de migrants qui s'est installé dans la ville il y a un mois. "C'est très difficile. Beaucoup de gens vivent ici, beaucoup sont malades. J'ai très peur pour mes enfants et pour mon bébé, couvert de piqûres de moustique", témoigne Mohamed, un Soudanais arrivé il y a une semaine avec sa femme et leurs cinq enfants âgés de 22 mois à 13 ans. "On appelle le 115, on nous dit chaque jour qu'il n'y a pas de place. Personne ne se soucie de ma famille, il n'y a pas d'humanité ici", se désole-t-il. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignée de tentes il y a un mois, s'est agrandi après les évacuations successives de deux bâtiments privés squattés, les 19 puis 28 juin, et au gré d'arrivées depuis l'Italie ou l'Espagne de migrants, essentiellement de Soudanais et d'Érythréens. Entre 170 et 300 personnesSelon la ville, plus de 170 personnes y vivent, mais elles seraient entre 200 et 300 selon les collectifs qui leurs viennent en aide. Le département de Loire-Atlantique, et la ville de Nantes, sont confrontés à "une évolution significative des flux depuis fin février", selon les autorités. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Les demandes d'asile ont ainsi augmenté de 28% en un an, là où d'autres grandes villes ont enregistré des baisses. Dans ce campement de fortune, "10 à 20 personnes nouvelles arrivent chaque jour", selon des bénévoles qui préparent et servent chaque soir "près de 400 repas". Crise sanitaireDes cas de gale y ont été signalés, tout comme la présence de nuisibles, poussant certaines associations et les élus de Nantes à co-signer un appel adressé à la préfète de Loire-Atlantique, et rendu public mardi, réclamant une rencontre en urgence avant "une crise sanitaire grave". "On n'a pas de réponse officielle. L'État doit pourtant trouver des solutions. Le droit des étrangers, l'hébergement d'urgence, c'est de sa compétence", insiste Aïcha Bassal, adjointe à la maire de Nantes. "On ne peut pas reprocher à l'État de ne pas les héberger, l'hébergement est conditionné au fait de déposer un dossier de demande d'asile et la majorité ne s'est pas manifestée", argue le secrétaire général de la préfecture, Serge Boulanger. LIRE AUSSI >> Combien coûte l'immigration aux pays d'accueil? "La situation est préoccupante, sur le plan humanitaire mais aussi de l'hygiène. ... On ne peut pas se satisfaire de personnes sans statut qui occupent l'espace public, mais la préfecture n'interviendra que si la maire demande en référé l'expulsion", déclare Serge Boulanger. Une situation qui agace les associations. "La ville et la préfecture continuent de se renvoyer la balle. Cela fait un mois qu'on appelle au secours et les pouvoirs publics sont aux abonnés absents", déplore François Prochasson, du collectif de soutien aux migrants. Des dons de vêtements"Heureusement que la générosité, la solidarité et l'aide spontanée sont considérables", poursuit François Prochasson, qui salue les nombreux dons de vêtements et de denrées, et les citoyens qui "donnent de leur temps" pour ramasser les ordures, aider à la distribution des repas ou accompagner des migrants à l'hôpital. "Ici, ils ne peuvent pas se faire à manger donc ils dépendent de l'assistance, il faut comprendre que c'est humiliant pour eux. Ce n'est pas une question d'argent, mais de volonté politique", martèle François Prochasson. Si un petit poste électrique permet de recharger téléphones ou bouilloire, et un robinet d'eau de se laver les dents ou des vêtements, un seul sanitaire public est situé à proximité, et les bains-douches de la ville sont surchargés depuis plusieurs semaines malgré l'augmentation de leur capacité, soulignent les associations. Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique ColombesRespire est un collectif citoyen indépendant. “Colombes à vélo” et “Le Colombes que j’aime” ont lancé la démarche en mars 2019 avec l’objectif que le collectif prenne son envol en toute liberté. Ce collectif s’adresse aux citoyens, aux écoles, aux associations, aux conseils de quartiers, aux élus, aux partis politiques et aux entreprises de notre ville. Soirée de soutien aux migrants. C’est un évènement au combien important dans le contexte actuel et particulièrement à Nantes. Depuis plusieurs semaines, plus de 300 hommes et femmes vivent maintenant Square Daviais, en plein centre ville dans un campement précaire. Comme l’an passé, les collectifs Abstrack’ et Cardinal Association s’associent à fin d’organiser un temps fort et convivial en solidarité avec les migrants. Rendez-vous le samedi 14 juillet 2018 au 18 Quai Wilson juste en face du Pont des 3 de soutien aux migrants RDV le 14 juillet 2018 Quai Wilson On compte donc sur vous pour venir très nombreux ce samedi 14 juillet 2018 de 15h à 2h. Au programme de cette soirée de soutien aux migrants Des DJs Sets Atemi, Heron X, Tom Select, Les Fantastiks…, du live painting Internet Boyz et évidemment une restauration rapide et un bar sur place. L’ensemble des recettes vont servir à financier plusieurs projets dont l’achat de denrées à la Banque Alimentaire, le maintien de l’entretien quotidien des lieux de vie, l’aide à la création d’évènements culturels et la sensibilisation vers tous les publics. “Des animations et concerts s’enchaîneront toute la journée du samedi 14 juillet. Ils permettront de rappeler que, tout comme avoir un toit et vivre dans des conditions descentes, la fête est un droit. C’est le droit d’échanger et de s’exprimer, tout en mettant de côté le quotidien afin de mieux appréhender le futur.”Soirée de soutien aux migrants Informations Pratiques Restauration et Bar Sur place Agencement Extérieur Prix Libre Prévoir du cash DAB éloigné ACCESS 18 Quai Wilson, 44200 Nantes C5 terminus + marche 5 min En bas du Pont des Trois Continents côté Hangar à Bananes Artwork by Gwendoline Blosse. Lesjeunes migrants isolés, séparés de tout soutien familial, constituent une population particulièrement exposée à la précarité. Le collectif Philomélos se propose, grâce aux soirées du même nom, de réunir des fonds pour soutenir l'action des associations qui œuvrent à Nantes pour leur fournir appui, hébergement, scolarisation, soins médicaux ou aide juridique. Error 403 Guru Meditation XID 871433313 Varnish cache server Wnywps.
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