Jete hais ce soir. Bordel que je te hais. A me faire ressentir ça. A continuer de me faire ressentir ça alors que ça fait six putains de mois que Je sais que le monde est fouJe sais, j'essaieJe sais, je saisJ'ai compris qu'le monde est fouJ'ai grandi avec les coupsAu milieu d'une meute de loups La suite des paroles ci-dessous On n'avait jamais de sousÉvoluĂ© dans le zooFallait joindre les deux boutsJ'suis nĂ© Ă  Paris la nuitNan, je n'suis pas sorti d'un chouBang bangEt puis je regarde ma mĂšreElle m'a mis un peu sur le tĂ©-c'J'me disais, c'est Ă  cause du travail, nanNan, c'Ă©tait la faute de son mecAlors pour survivre, y'avait deux façonsTout accepter ou bien maudire leur relationPatate dans l'crĂąne, ouais pour lui c'Ă©tait relaxantJ'avais un cƓur, aujourd'hui c'est qu'un vieux glaçonSur ma pochette, t'as captĂ© l'regard menaçantJ'peux plus pleurer, dĂ©sormais j'suis un grand garçonPardonnez-moi c'que j'ai fait pour un peu d'argentY'avait la drogue, le tier-quar et la tentationMerde[Refrain]Je l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la haisJ'ai du mal avec la paternitĂ©J'parle avec mon fils comme si j'Ă©tais son oncleÀ cĂŽtĂ© d'ça, j'mets tout l'monde Ă  l'abriC'est pas mon banquier qui va m'rĂ©gler mon compteRaison pour laquelle, j'ai des propos tragiquesTrois ninjas dans la caisse, [C'est un automatisme ?]Ils arrivent dans ta tess, ils sont clairement sadiques La suite des paroles ci-dessous Un coup d'feu dans le dos, fuck ta forme olympiqueMais c'est quoi cette vie mec ?Tu nous vois dĂ©filerSi t'as une arme t'es un bonhommeSi t'en as pas t'es une filletteÇa m'fait rigolerPas beaucoup d'cĂąlinsÇa s'passe comme ça depuis qu'j'suis Ă©colierMa premiĂšre rime, j'l'ai Ă©crite un matinÀ Jacques-Yves Cousteau parce que j'Ă©tais collĂ©Et puis j'ai rĂȘvĂ©Du Gangsta Paradise comme CoolioMa ville, je l'aime autant que je la haisIgo, je me sens couillĂ©J'traĂźne dans la zoneJ'traĂźne dans la zoneJe suis Ă©mĂ©chĂ©J'traĂźne dans la zoneMais c'est plus fort que moiJ'traĂźne dans la zoneJe suis Ă©mĂ©chĂ©J'traĂźne dans la zoneMais c'est plus fort que moi[Refrain]Je l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la haisJe l'aime autant qu'je la haisYonea Willy businessJe l'aime autant qu'je la haisMa mĂšre, la biĂšre, la rueJe l'aime autant qu'je la haisJe sais, j'essaieJ'essaie, je sais Les internautes qui ont aimĂ© "Je l'aime autant que je la haĂŻs" aiment aussi
Jet'aime ma petite chĂ©rie d mais que dĂ» Ă  vos responsabilitĂ©s vous n’avez plus de temps pour la voir Tu me manques tellement Je te hais quand tu n'es pas lĂ  et que tu es dieu sais oĂč Je te hais quand tu n'es pas lĂ  et que tu es dieu sais oĂč. Oh Eliot, tu me manques tellement parce que nous avons passĂ© beaucoup des moments merveilleux, ravissants et difficiles Je t’aime tu es

Listen to the song and read the French Lyrics and English Translation of “Mais je t’aime” interpreted by Grand Corps Malade & Camille Lellouche. About This Song Artist Grand Corps MaladeFeaturing Camille LelloucheSong Mais je t’aimeGenre popAlbum MesdamesReleased Date June 19, 2020 Click on the artist name, music genre or album’s name to see more translations. English Translation Do not tell me storiesYou know well what is wrongDon’t ask me too much at homeYou know well that the cracks are deepOn me, don’t hold on so tight Don’t hesitate, don’t hold on so tightIf it’s difficult for you, don’t leave me aloneWhen I’m sure of myselfI give you everything I have, so try to see in me, that
 I love youBut I love youI love you, I love youI love you I love you I love you, as much as I canI love you, and I do the best that I can They told me “I hope you’ll see, love is a great fireIt crackles, illuminates, shines, warms, stings the eyesSends hundreds of fireflies up there in the skyIt suddenly lights up and lights up the world and the city in a different way” We lit the match for the spark of our beginningsWe fed this home of all our excesses, of our abusesWe loved each other more than anything, only in the world of our bubbleThese flames have driven us crazy, we forget that in the end, the fire burns But I love youI love you, I love you, I love youBut I love you, I love you I love you, as much as I canI love you, and I do the best that I can I get very close to our fire and I sweat with bitternessI see those yellow and blue flames dancing, and the passion that is consumedWhy does love when strong make us vulnerable and fragile?I think of us and I doubt because since then nothing is easy I love you in flames, I love you in goldI love you worriedly, I love you stronglyI love you for two, I love you wronglyIt’s dangerous, I still love you So it’s true that it pierces meI love you restlessly, I love you wobblyObviously it devours meI know so much that I love you badly If I go ahead with youIt’s because I see myself doing this dance, in your armsExpectations, I don’t have anyYou give me so much love, so much strengthThat I can no longer live without you If my words hurt you, it’s not your faultMy wounds are from yesterdayThere are days more difficult than othersIf my words weigh you downI had nothing to do with itI had nothing to do with it, nothing But I love youI love you, I love you, I love youI love you i love you I love you, as much as I canI love you, and I do the best that I can But I love you
 French Lyrics Ne me raconte pas d’histoiresTu sais bien, ce qui ne tourne pas rondChez moi, ne m’en demande pas tropTu sais bien, que les fĂȘlures sont profondesEn moi, ne t’accroche pas si fort Si tu doutes, ne t’accroche pas si fortSi ça te coĂ»te, ne me laisse pas te quitterAlors que je suis sĂ»re de moiJe te donne tout ce que j’ai alors essaie de voir en moi que Je t’aimeMais je t’aimeJe t’aime, je t’aimeJe t’aime, je t’aime Je t’aime, du plus fort que je peuxJe t’aime, et je fais de mon mieux On m’avait dit “Attends tu vas voir, l’amour c’est un grand feuÇa crĂ©pite, ça illumine, ça brille, ça rĂ©chauffe, ça pique les yeuxÇa envoie des centaines de lucioles tout lĂ -haut, au firmamentÇa s’allume d’un coup et ça Ă©claire le monde et la vie diffĂ©remment” Nous on a craquĂ© l’allumette pour l’étincelle de nos dĂ©butsOn a alimentĂ© c’foyer de tous nos excĂšs, de nos abusOn s’est aimĂ© plus que tout, seul au monde dans notre bulleCes flammes nous ont rendus fous, on a oubliĂ© qu’au final, le feu ça brĂ»le Mais je t’aimeJe t’aime, je t’aime, je t’aimeMais je t’aime, je t’aime Je t’aime, du plus fort que je peuxJe t’aime, et je fais de mon mieux Je m’approche tout prĂšs de notre feu et je transpire d’amertumeJe vois danser ces flammes jaunes et bleues, et la passion qui se consumePourquoi lorsque l’amour est fort il nous rend vulnĂ©rables et fragiles ?Je pense Ă  nous et je vacille, pourquoi depuis rien n’est facile Je t’aime en feu, je t’aime en orJe t’aime soucieux, je t’aime trop fortJe t’aime pour deux, je t’aime Ă  tordC’est pĂ©rilleux, je t’aime encore Alors c’est vrai ça me perforeJe t’aime pesant, je t’aime bancaleÉvidemment ça me dĂ©voreJe sais tellement que je t’aime, malSi j’avance, avec toi C’est que je me vois faire cette danse, dans tes brasDes attentes, j’en ai pasTu me donnes tant d’amour, tant de forceQue je n’peux plus, me passer d’toi Si mes mots te blessent, c’est pas d’ta fauteMes blessures sont d’hierIl y a des jours plus durs que d’autresSi mes mots te pĂšsentJ’y suis pour rienJ’y suis pour rien, rien Mais je t’aimeJe t’aime, je t’aime, je t’aimeJe t’aime, je t’aime Je t’aime, du plus fort que je peuxJe t’aime, et je fais de mon mieux/Tu m’aimes, et tu fais de ton mieux Mais, je t’aime Credits Original Lyrics were taken from and we translated this song from French to English. Official album for Grand Corps Malade “Mesdames” is available on Follow Grand Corps Malade onInstagram Follow Camille Lellouche onInstagram Wanna more English Translations?You can find more English Translations of these artists coming back at “About This Song” section and clicking in the artist name, music genre or in some cases even in the album name.

Écouterce morceau| Ajouter ce morceau Ă  mon blog. Titre : Je te hais AnnĂ©e : 2009 Paroles : Je n'aime pas ces regards froids,que tu me jette,qui me blesse, je n'aime pas ça cigarette,tout c'est romans que tu lis, Je n'aime pas que tu sois loin,et encore moins quand tu est ivre, Que tu me dise ce qu'on m'a dit,qu'a t'a pas ta place dans ma vie Tu te trompe
20 minutesCes derniers temps j’ai recommencĂ© Ă  beaucoup traĂźner sur Twitter. A une Ă©poque je ne jurais que par ce rĂ©seau. Il me permettait de faire entendre mes prises de positions socio-politiques. J’ai cessĂ© de tweeter lorsque je me suis retirĂ©e de l’activisme politique, Ă©pisode dĂ©taillĂ© dans cet article. Aujourd’hui je suis sur Twitter en mode sous-marin. Je lis, je like, je retweete parfois, mais je m’exprime trĂšs peu. Twitter est pour moi une espĂšce de vitrine de la sociĂ©tĂ©. C’est une source riche d’informations quand on Ă©crit sur l’humain et/ou la sociĂ©tĂ©. GrĂące Ă  Twitter je sais quels sont les sujets chauds du moment, ce que les gens pensent et surtout ce qu’ils osent dire. Un sujet en particulier revient souvent la violence physique, verbale et/ou psychologique au sein des couples. Que feriez-vous si votre homme vous giflait ? Quand faut-il partir ? Que doit faire un homme si une femme se comporte de telle ou telle façon ? Quels sont les signes annonciateurs des abus au sein des couples ? Chacun y va de son avis et les dĂ©bats sont souvent trĂšs animĂ©s. Une chose m’a frappĂ©e par contre. La violence semble n’exister qu’au sein des couples. Elle semble ne naĂźtre que lorsqu’on est en couple. Elle vient de nulle part, et vlan, on reçoit la premiĂšre gifle. Bon, j’exagĂšre. Des insultes et des menaces prĂ©cĂšdent trĂšs souvent cette gifle. Sauf que ces injures et ces menaces viennent
 de nulle part. Quasiment personne ne s’intĂ©resse aux violences verbales, physiques et psychologiques au sein des familles. Par famille j’entends pĂšre, mĂšre, frĂšres, sƓurs, oncles, tantes, cousins, cousines. Le mot d’ordre sous nos cieux est l’omerta. On ne critique pas nĂ©gativement sa famille. On ne questionne pas les agissements de ses parents. On n’a aucune lĂ©gitimitĂ© en tant qu’individu. On n’est que ce que la famille veut bien faire de nous. On encaisse les coups venus d’en haut parents, aĂźnĂ©s, et on rend la pareille Ă  ceux Ă  notre niveau ou au niveau infĂ©rieur ceux du mĂȘme Ăąge que nous ou plus jeunes. Le cercle est sans fin. Je l’ai dit dans l’article Famille et communication shut up je viens d’une famille oĂč on ne savait pas se parler si ce n’était pour se moquer les uns des autres. Toute action diffĂ©rente Ă©tait ridiculisĂ©e. Toute envie diffĂ©rente Ă©tait risible. Tout malheur Ă©tait sujet de raillerie. La compassion existait, mais elle tenait la main aux Ă©clats de rire qui parfois l’annulaient complĂštement. Je n’avais pas d’autre moyen de communication que la moquerie. Sans le savoir, j’étais mĂ©chante gratuitement. Et je rendais les gens autour de moi mĂ©chants. Sans le savoir, j’avais beaucoup d’influence sur mes amis trĂšs proches qui, sans s’en rendre compte, adoptaient mon comportement. La premiĂšre fois que cela m’a frappĂ©e Ă©tait Ă  l’universitĂ©. Je me suis retrouvĂ©e Ă  discuter avec l’amie proche d’une amie proche. Elle et moi ne nous frĂ©quentions quasiment pas, mais j’avais l’impression d’ĂȘtre face Ă  un miroir. Mes intonations, mes expressions favorites, les mots que j’utilisais pour passer de la discussion Ă  la moquerie
 Elle les avait faits siens. Mon amie et moi passions tellement de temps ensemble que je n’avais pas rĂ©alisĂ© que je l’avais infectĂ©e. Et Ă  son tour elle infectait son entourage. Tout est parti de ma dynamique familiale. A cette Ă©poque-lĂ  je ne le savais pas, et je n’avais aucune intention de me pencher sur la question. Ma conclusion Ă  ce moment-lĂ  ? Mais cette meuf n’a aucune personnalitĂ© si elle a besoin d’ĂȘtre moi pour exister ! » La bĂȘtise dans toute sa splendeur. Ma niĂšce avait 2 ans la premiĂšre fois oĂč j’ai failli la fracasser. Et le mot est faible. Mon envie de la bastonner Ă©tait tellement forte que j’ai dĂ» sortir de la maison pour m’assurer de ne pas la toucher. Elle avait fait une bĂȘtise en rapport avec des coussins je pense. En rĂ©alitĂ© je ne m’en souviens plus vraiment. Ce dont je me souviens clairement c’est la rage en moi. Elle devait ĂȘtre battue. Sa faute Ă©tait impardonnable. Je devais la battre. J’ai Ă©tĂ© freinĂ©e par le questionnement dans ses yeux. Elle n’avait pas conscience de ce qu’elle avait fait et ne comprenait pas pourquoi je lui criais dessus. Elle comprenait encore moins cette rage noire qui me faisait bĂ©gayer de maniĂšre effrayante. Oui, je bĂ©gaie naturellement, et quand je m’énerve ce n’est pas beau Ă  voir. Mais nous y reviendrons si je ne digresse pas trop. Ma niĂšce devait ĂȘtre battue. J’ai Ă©tĂ© un enfant battu. Je le dis parfois en rigolant, mais aujourd’hui je dois me l’avouer parce que c’est vrai. Ma mĂšre me frappait quand elle Ă©tait excĂ©dĂ©e, ce qui n’arrivait pas souvent. Elle avait d’autres formes de punition. Lorsque nous Ă©voquons nos souvenirs de mon pĂšre que j’adore soit dit en passant, nous parlons plus de la terreur qu’il nous inspirait. Sa seule aura changeait la tempĂ©rature de la salle. Il nous faisait peur. Je ne saurais le dire autrement. Mon frĂšre et moi Ă©tions des tam-tams. Aucune faute ne nous Ă©tait pardonnĂ©e. En rĂ©alitĂ© aucune faute n’était pardonnĂ©e Ă  qui que ce soit, sauf que notre chĂątiment Ă  tous les deux Ă©tait diffĂ©rent. DiffĂ©rent dans la forme, mais pas forcĂ©ment dans le fond. Le traumatisme restait prĂ©sent. J’explique. Mon pĂšre a une intelligence supĂ©rieure, et je le dis sans me vanter. Dans le but de nous apprendre Ă  rĂ©flĂ©chir, il nous tendait des piĂšges mentaux qui nous faisaient vivre dans une terreur psychotique extrĂȘme. Toute question posĂ©e par lui nous faisait tellement paniquer que nous en perdions nos mots. Un simple repas Ă  table se transformait en quizz sur chaque Ă©lĂ©ment posĂ© sur la table, et toute mauvaise rĂ©ponse Ă©tait durement sanctionnĂ©e. Tout film regardĂ© en famille perdait tout intĂ©rĂȘt une fois la derniĂšre scĂšne passĂ©e des questions pointues sur l’intrigue nous Ă©taient posĂ©es alors que nous n’avions pas 6 ans. Comment savoir pourquoi Derrick a dit ci ou ça Ă  son second Harry ? Mes yeux d’enfants se focalisaient sur autre chose. Les bagarres, les coiffures bizarres des femmes
 je comprenais Ă  peine les mots dits ! Autant que les moments sĂ©rieux », les moments de loisirs faisaient peur. Nous ne voulions plus regarder de film, nous ne voulions plus manger Ă  table mais avait-on le choix ?, et nous Ă©vitions par dessus tout de poser des questions. A propos de questions, une scĂšne ne me quitte pas. Plus ĂągĂ©e que nous, ma sƓur est entrĂ©e au collĂšge haut la main nous n’avions pas d’autre choix que d’ĂȘtre brillants. Une fois elle faisait ses devoirs, et mon frĂšre a jetĂ© un coup d’Ɠil dans ses cahiers. C’est quoi ça ? » a-t-il demandĂ©. C’est x » a-t-elle rĂ©pondu. C’est quoi x ? » Je ne me souviens plus trĂšs bien de sa rĂ©ponse. Toujours est-il que mon frĂšre, du haut de ses 6 ans, est allĂ© poser la question Ă  mon pĂšre. Erreur. Mon pĂšre avait une sainte horreur de se rĂ©pĂ©ter. Tout comme il avait une sainte horreur de l’ignorance. Il n’expliquait jamais Ă  une seule personne, tout le monde devait ĂȘtre au mĂȘme niveau d’information. Vas chercher ta sƓur » a Ă©tĂ© sa rĂ©ponse. Je tiens Ă  prĂ©ciser que je suis plus jeune que mon frĂšre. C’est la peur au ventre que nous nous sommes assis face Ă  lui. Il nous a offert ce soir-lĂ  des cahiers neufs et pendant des heures, nous avons fait des mathĂ©matiques. Des heures. Nous devions comprendre comment trouver x. Je savais Ă  peine faire des divisions. Nous avons fini par comprendre. Et j’ai ainsi Ă©tĂ© dĂ©goĂ»tĂ©e des mathĂ©matiques toute ma vie. Cette terreur s’est transformĂ©e au fil du temps. Elle est sortie du cadre familial. Toute question posĂ©e me faisait paniquer. Et je n’en posais aucune par peur d’ĂȘtre rĂ©primandĂ©e pour mon manque de savoir. A la maison on n’en savait jamais assez. Mon pĂšre n’acceptait par exemple pas que nous ne sachions pas la dĂ©finition de certains mots, alors le dictionnaire trĂŽnait fiĂšrement sur la table du salon. Nous le consultions H24. Une question pouvait ĂȘtre posĂ©e Ă  tout moment. A l’école nous Ă©tions toujours parmi les plus brillants. Mais ce n’était jamais assez. On pouvait faire mieux, et nous Ă©tions tabassĂ©s pour nous le faire bien comprendre. Hors de question d’ĂȘtre 2e de la classe. C’était indigne. Le fait mĂȘme d’ĂȘtre premier Ă©tait parfois indigne. 18 de moyenne pourtant il est possible d’avoir 20
 Mon complexe d’infĂ©rioritĂ© est nĂ© de l’alliance entre la moquerie, la terreur psychologique et la bastonnade. Mon manque de tolĂ©rance face au manque de connaissances des gens autour de moi sur certains sujets que je maĂźtrise moi me vient Ă©galement de mon Ă©ducation. Selon les attitudes de mon pĂšre, nous Ă©tions tellement idiots que nous Ă©tions le niveau zĂ©ro de la connaissance. Il m’est donc difficile de comprendre que j’en sais plus que qui ce soit. Si je sais, alors tu sais. Je suis le niveau zĂ©ro de la connaissance. Ne nous mĂ©prenons pas, le but ici n’est pas de dire que mes parents ont fait un mauvais travail et qu’ils sont les pires parents de la terre. TrĂšs loin de lĂ . Leur but n’était pas de faire de moi une couarde. Leur objectif Ă©tait prĂ©cisĂ©ment le contraire, mais je ne l’ai compris qu’avec une certaine maturitĂ© et un certain dĂ©tachement. La moquerie endurcissait. La terreur psychologique affinait la rĂ©flexion. La bastonnade Ă©vitait la reproduction de certaines idioties. Les objectifs ne portaient en rien les gĂȘnes du mal. Sauf que
 OĂč qu’il aille, l’humain reproduit ce qu’il a connu. Ma sƓur me le disait trĂšs souvent, et je ne comprenais pas de quoi elle parlait. Nos parents ont fait de leur mieux, mais il y a beaucoup de choses que je ne tiens pas Ă  reproduire. » Je me suis installĂ©e chez ma sƓur alors que ma niĂšce avait 4 mois. La premiĂšre rĂšgle que je me suis imposĂ©e a Ă©tĂ© la suivante cette enfant ne sera jamais victime d’un double discours dans cette maison. J’étais en charge de son Ă©ducation comme tout adulte autour d’elle, mais les lignes directrices devaient venir de ses parents et personne d’autre. Je devais moi aussi baliser le chemin, mais les parents savaient mieux que moi ce qui Ă©tait mieux pour leur enfant. L’autre raison pour laquelle je n’ai pas fracassĂ© ma niĂšce le jour mentionnĂ© est que ses parents ne l’avaient jamais frappĂ©e. Pas de double discours. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai vĂ©cu dans une maison avec beaucoup d’adultes et d’aĂźnĂ©s. Chacun avait ses prĂ©fĂ©rences qui allaient parfois Ă  l’opposĂ© de celles des autres. Tonton tel a dit de faire ceci alors que Tata telle l’a interdit. Que faire ? Panique. Si je fais je serai grondĂ©e ou frappĂ©e. Si je ne fais pas je serai tout aussi bien grondĂ©e ou frappĂ©e. Nous vivions dans une peur panique perpĂ©tuelle, paralysĂ©s, rĂ©primandĂ©s pour tout et par tous. Ma sƓur Ă©tait parfois Ă©tonnĂ©e de la panique dans mes yeux Ă  la moindre chose qu’elle me demandait de faire. Et si c’était mal fait ? Allait-elle se fĂącher ? Me rĂ©primander ? Il m’a fallu beaucoup de temps pour me sentir en terrain non hostile. Je ne voulais pas que ma niĂšce vive cette expĂ©rience. Mes premiers questionnements rĂ©els sur mon enfance et sur les enfants en gĂ©nĂ©ral me sont venus au contact de ma niĂšce. J’ai par exemple remarquĂ© que j’étais la vigilance sur pied. Je faisais Ă©voluer cette enfant dans un environnement aseptisĂ©. Rien de nĂ©gatif ne devait lui arriver. Elle ne devait ĂȘtre au contact de rien de mauvais. Elle ne devait souffrir de rien. Je goĂ»tais sa nourriture avant qu’elle ne mange. Je marchais derriĂšre elle pour qu’elle ne tombe pas et ne se fasse pas mal. Je scannais chaque endroit oĂč nous nous rendions au point oĂč je connaissais par cƓur quasiment toutes les sorties de secours des coins que nous frĂ©quentions. Je refusais qu’on mange dans des restaurants oĂč les chaises n’étaient pas adaptĂ©es pour elle selon mes standards. Je prĂ©fĂ©rais la porter plutĂŽt qu’elle ne marche parce que
 on ne sait jamais. Et ça ce n’était que le bout visible de l’iceberg. Mais j’avais une autre face, celle-lĂ  bien plus effrayante. J’étais d’une sĂ©vĂ©ritĂ© inqualifiable. Je ne tolĂ©rais pas les bĂȘtises et ce que je jugeais ĂȘtre de la stupiditĂ©. Il Ă©tait hors de question qu’elle n’enregistre pas une directive la premiĂšre fois qu’elle Ă©tait formulĂ©e. J’entrais dans des colĂšres noires quand elle reproduisait les mĂȘmes fautes. Ma sƓur me le faisait remarquer mais je ne voyais pas oĂč Ă©tait le mal. La vĂ©ritĂ© ? Je n’avais pas connu autre chose. Je reproduisais l’environnement dans lequel j’avais vĂ©cu tout en le combattant. J’étais le bourreau protecteur. Je ne voulais pas qu’elle subisse les mĂȘmes traumatismes, je la protĂ©geais de l’extĂ©rieur. Je n’avais pas rĂ©alisĂ© que j’étais la potentielle plus grande source de traumatisme. Le diable ne rodait pas autour de la maison. Il Ă©tait dans la maison. La premiĂšre chose que j’ai remarquĂ©e et qui m’a violemment frappĂ©e a Ă©tĂ© la joie sur le visage de ma niĂšce chaque fois qu’un de ses parents passait la porte d’entrĂ©e. C’était une vĂ©ritable fĂȘte. Leur prĂ©sence la comblait. Elle adorait les avoir prĂšs d’elle. A mon Ă©poque, le retour d’un parent ou d’un aĂźnĂ© Ă©tait source de grand stress. Les pires scĂ©narios Ă©taient imaginĂ©s. En 3 secondes nous scannions en 3D la maison entiĂšre, faisant appel Ă  notre mĂ©moire pour nous rappeler exactement oĂč est quoi est qu’est-ce qui n’est pas Ă  sa place. Nous aurions dĂ» tous ĂȘtre brillants en technologie au collĂšge, car la vue d’en haut, d’en bas ou de cĂŽtĂ© n’avait aucun secret pour nous. MalgrĂ© notre enfance, ma sƓur avait rĂ©ussi Ă  faire de ses retours Ă  la maison des moments de fĂȘte. Comment ? A ses yeux son enfant n’était pas un enfant, un ĂȘtre soumis et sans volontĂ©. Elle lui demandait son avis, et ce dĂšs l’ñge de 2 ans. Un enfant ça a des avis !!!!! Je tombais des nues. Elle avait le droit de dire non, ou je ne veux pas. Dans quel monde ? Au dĂ©part, j’avais la certitude que ma sƓur raterait l’éducation de ses enfants. Un enfant ça se gronde, ça se punit, ça se bastonne. Tout est imposĂ© Ă  un enfant. Il n’a rien Ă  dire. C’est la norme. C’est comme ça. J’ai vĂ©cu comme ça. Rien ne pouvait ĂȘtre diffĂ©rent. Puis j’ai commencĂ© Ă  repenser Ă  mon enfance et Ă  tout ce qui m’avait Ă©tĂ© imposĂ©. Manger quand on n’a pas faim. Manger ce qu’on dĂ©teste. Finir son assiette alors qu’on est proche du vomissement tellement l’estomac est plein. Aller Ă  des fĂȘtes oĂč on ne connait personne parce que le parent a promis Ă  un collĂšgue qu’on n’a jamais vu qu’on serait Ă  l’anniversaire de son enfant. Vivre cette gĂȘne et ces regards de gens qui ne savent pas exactement ce que vous faites-lĂ . Ne pas oser dire non pour ne pas dĂ©clencher fureur, tonnerre et Ă©clair. Ne pas oser avoir un avis parce qu’il sera trĂšs certainement idiot et donc mal accueilli. S’effacer au maximum, vouloir disparaĂźtre pour un environnement plus paisible. Question en quoi ceci est diffĂ©rent de la situation psychologique d’une femme battue ? Quelqu’un a-t-il seulement pensĂ© que les bourreaux dans les mĂ©nages peuvent ĂȘtre créés par l’environnement dans lequel ils ont baignĂ©s, qu’ils ne sont pas nĂ©s ainsi ? Je n’ai jamais battu ma niĂšce. Je l’ai frappĂ©e une fois, sur la paume des mains, avec une spatule. Elle devait avoir 5 ans. J’aurais pu lui faire comprendre sa faute autrement. Aujourd’hui elle a 7 ans. Pour moi elle est autant un enfant qu’un adulte. Je ne lui impose rien. Une fois je lui ai demandĂ© quand est-ce qu’on pourrait dĂ©jeuner ensemble. Elle m’a dit qu’elle Ă©tait trĂšs prise par ses activitĂ©s, elle me reviendrait. J’ai sursautĂ©. Puis je me suis souvenue que moi aussi, mes dĂ©jeuners tournent autour de mon agenda. Alors pourquoi ce serait diffĂ©rent pour elle ? Je suis celle qu’elle appelle quand elle a des questions existentielles » Ă  poser. Qui a créé Dieu ? Pourquoi le monde est ainsi fait ? Pourquoi il y a des pauvres et des riches ? Je l’observe et je remarque les choses qui pourraient lui ĂȘtre utiles mais qu’elle n’aime pas ou qu’elle n’arrive pas Ă  faire. Je rĂ©flĂ©chis Ă  la maniĂšre la plus simple et ludique pour elle d’y arriver, et je lui apprends Ă  appliquer cette mĂ©thode sans lui donner une impression d’obligation ou de lourdeur. Tout est simplicitĂ©. Tout est volontĂ©. Je lui achĂšte autant de livres qu’elle demande. Je lui apprends que l’accumulation de biens matĂ©riels n’est pas la meilleure façon de vivre. Je ne me limite pas Ă  mon savoir et Ă  mon statut de tante pour lui faire comprendre que ce que je dis est vrai ou vĂ©rifiĂ©. Je lui apporte des preuves, comme je l’aurais fait si je dĂ©fendais une thĂšse. Elle a le droit de douter. J’ai le devoir de lui apprendre au moyen de faits concrets. Ma niĂšce est trĂšs indĂ©pendante. Elle dit ce qu’elle pense et prend la parole en public. Elle a un style vestimentaire qui lui est propre et sait exactement ce qu’elle n’aime pas. Elle cultive sa personnalitĂ© et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle aime le fait d’ĂȘtre excellente, et elle l’est pour elle mĂȘme, pour le plaisir que ça lui procure, et non pour monnayer les rares compliments d’un parent ou de l’autre. Comme nous tous, elle a des dĂ©fauts. Elle rigole parfois des autres. Sachant la peine que ça fait d’ĂȘtre sujet de moquerie, je lui apprends qu’elle peut s’exprimer autrement. Blesser l’autre ne la grandit pas, au contraire. Comment se sentirait-elle si elle Ă©tait Ă  la place de cette personne ? A 7 ans, ma niĂšce a les attributs de la personne que je rĂȘvais d’ĂȘtre mais que je n’ai pas osĂ© matĂ©rialiser jusqu’à mes 27 ans. Elle a 20 ans d’avance sur moi. Comment est-ce possible ? Nous avons appris de notre environnement hostile. Nos parents nous ont Ă©levĂ©s selon les mĂ©thodes appliquĂ©es par leurs parents. Ils n’ont pas mal tournĂ©, et se sont certainement dit que ces mĂ©thodes Ă©taient les bonnes. Je tiens Ă  prĂ©ciser que comme nous, ils ont eu la mĂȘme pensĂ©e que ma sƓur il y a beaucoup de choses qu’ils ont subi de leurs parents qu’ils ne nous ont pas fait subir, car c’était trop cruel Ă  leurs yeux. Lorsque je prĂ©parais ce texte dans ma tĂȘte, une discussion m’est revenue, une discussion que j’ai eue avec Françoise et Nadia. A l’époque j’étais prĂȘte Ă  me suicider si je me savais enceinte. Les choses ont bien changĂ© depuis. Nadia nous parlait de sa fille qui avait Ă  l’époque 2 ans. Lorsque sa fille tombait et se faisait mal, pour la consoler la nounou frappait le sol de son pied. Si elle s’était heurtĂ©e Ă  quelque chose, la nounou donnait une tape Ă  cette chose en disant Ă  l’enfant qu’elle avait rendu la pareille, donc tout irait bien. Je ne voyais pas oĂč Ă©tait le problĂšme jusqu’à ce que Nadia dise ceci Je ne veux pas qu’on apprenne Ă  ma fille que le seul moyen de se sentir bien aprĂšs avoir eu mal, c’est de faire du mal, mĂȘme si c’est en reprĂ©sailles. » Ces gestes qui nous semblent si anodins s’inscrivent diffĂ©remment dans la tĂȘte des enfants. En rĂ©alitĂ© non. Ils s’inscrivent de la mĂȘme façon qu’ils se sont inscrits Ă  nous la violence devient normale. C’est le seul moyen de se faire respecter. C’est le seul moyen d’aller bien ou mieux dans certains cas. Françoise elle, a parlĂ© du refus du rejet de l’autre. Il n’y a dans sa maison rien qui soit pour les garçons et rien qui soit pour les filles. Pourquoi ? Pour ne pas apprendre Ă  ses enfants Ă  rejeter les attributs ou les activitĂ©s prĂ©tendument destinĂ©s Ă  l’autre sexe. Un garçon peut jouer Ă  la poupĂ©e, une fille peut jouer au pompier. Et ils peuvent le faire ensemble. Finies les rages folles du pĂšre lorsqu’il voit son fils s’amuser avec une Barbie ! Sommes-nous aujourd’hui trop laxistes, nous qui souhaitons effectuer un changement Ă  180° et Ă©lever nos enfants totalement diffĂ©remment ? Peut-ĂȘtre. Mais je dois avouer que lorsque je vois l’évolution de ma niĂšce sur certains points, je me dis que nous ne sommes pas dans l’erreur. N’ayant pas connu la terreur psychologique ou verbale, elle ne sait pas la reproduire. Si elle l’apprend plus tard, elle saura aisĂ©ment s’en dĂ©barrasser car cette terreur ne sera pas ancrĂ©e en elle. J’ai encore tellement Ă  dire sur le sujet, mais il est temps pour moi d’arrĂȘter d’écrire. Il fait bien trop chaud et tout ce dont j’ai envie c’est m’étendre et dormir. Je vous laisse Ă  vous le soin de poursuivre cette discussion. Partagez en commentaire vos points de vue sur la question. Comme vous le savez dĂ©jĂ , je rĂ©ponds Ă  absolument tous les commentaires reçus sur le blog. Photo Reddit PS peu de gens le savent, mais il est possible de surligner ou de rĂ©pondre Ă  des passages d’articles, comme c’est le cas sur Medium. Ce serait bien d’utiliser cette fonctionnalitĂ© pour que je sache quelles sont les parties du texte qui ont retenu votre attention. Et puis, il faut bien que mon argent serve Ă  quelque chose puisque j’ai payĂ© pour cette fonctionnalitĂ© ! Digressions n’a aucun compte sur les rĂ©seaux sociaux, une situation qui n’est pas prĂšs de changer. Pour vous tenir informĂ©s des activitĂ©s ici, abonnez-vous au blog, tout simplement. Je suis disponible par mail Ă  l’adresse mesdigressions et sur Instagram Ă  c_befoune. Je dĂ©chaĂźne l'humain Ă  travers mes Ă©crits. Digressions n'est pas sur les reseaux sociaux, alors abonnez-vous ! En cochant cette case, vous confirmez que vous acceptez que nous vous envoyions par mail les nouveaux articles publiĂ©s sur le blog et, occasionnellement, des dĂ©tails exclusifs sur les activitĂ©s autour de Digressions. ElleĂ©clate bien mieux en te laissant la vie ; Et je veux que la voix de la plus noire envie. ÉlĂšve au ciel ma gloire et plaigne mes ennuis, Sachant que je t’adore et que je te poursuis. Va-t’en, ne montre plus Ă  ma douleur extrĂȘme. Ce qu’il faut que je perde, encore que je l’aime. Dans l’ombre de la nuit cache bien ton dĂ©part ;
Brigitte DurĂ©e 0327 Auteur Sylvie Hoarau, AurĂ©lie SaadaCompositeur Sylvie Hoarau, AurĂ©lie Saada Paroles Marseille-Arsenal te fait plus d'effet Qu'un bas d'Ă©pine dorsale ou des cheveux dĂ©faits Si ton kangourou, ce soir est gonflĂ© Ce n'est que parce que tes petites paluches Marlou, se grattent les jouets Marlou, le canapĂ© et la couette ont si bien moulĂ© tes moules Ton corps de poire blette s'est fossilisĂ© Faut qu'j'mette des crampons pour te solliciter Ou est-ce qu'un simple pied d'biche suffit pour te dĂ©capsuler? Toi et moi, c'est Gabin et Signoret "Le chat" façon supermarchĂ© Qui a peur de Virginia Woolf? Mais mon amour je t'aime comme je te hais Marseille-Arsenal n'est pas ton seul projet Vu ta bobine t'as sĂ©rieusement l'air d'avoir remarquĂ© Qu'mes copines, mes frangines sont mĂ©chamment roulĂ©es Essuie la bave sur tes babines ou bien tu vas manger Pour ta gouverne, marlou apprends quand mĂȘme Qu'ça fait un bail qu'elles me tannent pour que j'me taille Et que j'suis lĂ , marlou et que j'm'acharne J'sais pas pourquoi, j'veux une mĂ©daille J'ai en rĂ©serve quelques noms d'oiseaux Pour tes chers camarades de chaos Walk the line, coco Ou j'fais du Dario Argento Toi et moi, c'est Gabin et Signoret "Le chat" façon supermarchĂ© Qui a peur de Virginia Woolf? Mais mon amour je t'aime comme je te hais Mariole, tes problĂšmes d'ƒdipe Ă  35 ans m'affolent Tu traĂźnes dans les jupons de ta maman Est-ce que t'envisages enfin un sevrage? Qu-est-ce que j'la kiffe ta mĂšre surtout quand elle la boucle Et qu'elle dĂ©gage y a des matins, je crois avoir un troisiĂšme kid de Sam Vas-y tu joues Ă  ça, j't'infanticide PrĂȘte Ă  m'fermer que si tu n'viens pas m'aider si tu suscites le dĂ©sir Choisis la maman Ă  la putain et j't'liquide, damnĂ© Ça fait trop d'annĂ©es qu'on s'frĂ©quente Ă  nu J'te connais comme si on venait du mĂȘme ventre J'te fais la misĂšre façon avant-centre Mais c'est d'bonne guerre, mon bonbon Ă  la menthe Toi et moi, c'est Gabin et Signoret "Le chat" façon supermarchĂ© Qui a peur de Virginia Woolf? Mais mon amour je t'aime comme je te hais
Tshirts homme et femme originaux sur le thĂšme Je Te Hais Designs d'artistes Plusieurs coupes

Paroles de la chanson Je t'aime mais par Zazie Paroles de la chanson Je t'aime mais par Zazie Je t'aime oui je t'aime mais Ça met ta vie que tu le sais Je t'aime ça oui je l'admets Mais comment faire dĂ©sormais Tu n'es plus lĂ  Et les mots comme ça Ça se dit pas Ă  l'imparfait Quand ce n'est pas toi qui les dit Ces mots dĂ©passĂ©s Se Gainsbarre en fumĂ©e Je t'aime oui je t'aime mais Ça met ta vie que tu le sais Je t'aime oui puis aprĂšs C'est pas nouveau et c'est pas gai Tu n'es plus lĂ  Et les gars comme toi J'en connais pas Des mecs plus ultras Dire que tu bois de l'eau de lĂ  Pendant qu'ici bas J'me Gainsbarre en fumĂ©e Je t'aime oui je t'aime mais C'est tout l'effet que ça te fait Je t'aime oui mais sans succĂšs Et dire que toi tu en avais A nous revendre Les mots comme ça Ça ce dit pas Ă  l'imparfait J'aurais aimĂ© te dire en vrai Ces mots dĂ©modĂ©s Mais Gainsbarre en fumĂ©e Les mots comme ça Ça se dit pas Ă  l'imparfait Si tu savais comme ces mots lĂ  Ne se dĂ©modent pas Quand c'est toi qui les dit Je t'aime oui je t'aime mais Je t'aime oui mais sans succĂšs Repose en paix SĂ©lection des chansons du moment Les plus grands succĂšs de Zazie

BADBOY {je te Hais comme je T'aime} [JK][RÉÉCRITURE] Il s'approcha une fois de plus vers moi alors j'arrĂȘta toutes paroles le temps d'un instant. Il devait sĂ»rement attendre la fin de ma phrase mais je vis s'ouvrir sa bouche, il allait prononcer d'autres mots. Je n'ai pas dĂ» le troubler, il a sĂ»rement deviner la suite de mes paroles. "- Il est normal pour un pĂšre de savoir ce que

BonjourJe ne comprends pas la situation entre mon copain et moi. On ne se voit pas souvent. Mais Ă  chaque fois je ne sais pas ce que ca va donner... soit tout va bien, soit tout va mal. On se fait confiance puis plus du tout. On cherche l'autre puis on l'ignore. On se fait des calins puis on est en froid. On s'Ă©change beaucoup de lettres, de messages, notre relation est principalement ainsi. Souvent je ne sais pas quel ton saisir, ce qu'il veut dire etc, et on s'interprĂšte mal trop de fois, donc on est en froid. Pour le reconquĂ©rir, je dois toujours faire le premier pas. On fait des sous entendus, on se dit s'aimer puis on se parle sĂ©chement. Je ne comprends pas. On a beaucoup de points communs, notre caractĂšre est semblable, nos gouts Ă©galement. Mais il y a un fossĂ© dans la communication, l'interprĂ©tation, et parfois on fait presque exprĂšs de ne plus se parler. Je l'aime puis je le dĂ©teste. Je suis extremement possessive et jalouse, je suis parano aussi. Des fois il me dit m'aimer, que je suis importante pour lui, le lendemain on se prend la tete, on est en froid, et je ne le crois plus du tout. Je me dis qu'il se fiche de moi et qu'il s'amuse. TrĂšs rĂ©servĂ©, pourtant il se confie Ă  moi, me donne des photos et me fais des calins. Je fais de mĂȘme. Puis, quelques temps aprĂšs je n'ai plus confiance en lui, le fuit, ne me confie pas Ă  lui et le lui fais comprendre alors il me rĂ©pond mĂ©chamment et ne m'adresse plus la parole. Je dois donc revenir vers crois que le problĂšme vient de moi. Pas assez de confiance, crainte d'etre inintĂ©ressante et juste un passe temps, crainte pour l'avenir, paranoia, possessivitĂ©, jalousie. Svp aidez moi...

Jet'aime, à tort, mais je t'aime malgré tout. Et cet amour ne cesse de s'amplifier. Je t'aime, et c'est bien la pire de mes souffrances . Les 3 phrases qu'il faut prononcer pour rompre sont : " je te quitte ", " c'est fini entre nous " & " je ne t'aime plus. ". Tant qu'elles ne sont pas formulées, tout est rattrapable. On peut s'engueuler

Connection timed out Error code 522 2022-08-26 171754 UTC Host Error What happened? The initial connection between Cloudflare's network and the origin web server timed out. As a result, the web page can not be displayed. What can I do? If you're a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you're the owner of this website Contact your hosting provider letting them know your web server is not completing requests. An Error 522 means that the request was able to connect to your web server, but that the request didn't finish. The most likely cause is that something on your server is hogging resources. Additional troubleshooting information here. Cloudflare Ray ID 740e381dc99cb76d ‱ Your IP ‱ Performance & security by Cloudflare

LarĂ©ponse serait donc oui ! Mais autant faire son maximum pour Ă©viter la haine ^^ Car tous nos conflits proviennent au final que d’interprĂ©tations diffĂ©rentes de mĂȘmes situations. On est donc responsable Ă  50% de son malheur en amour. Et Ă  100% de son bonheur au
ï»żNon connectĂ©. Connectez-vous ou devenez membre gratuit.Recherche rapide Avant de comprendre, avant de savoir, avant de grandir, je l'aimais, je l'adorais, je l'estimais, je le voyais comme l'homme le plus important de ma vie, comme celui que je ne pourrais jamais dĂ©tester, jamais haĂŻr, comme celui dont je ne pourrais jamais avoir honte. Il Ă©tait celui qui me faisait vivre, je le croyais tellement...Je l'aimais, oui je l'aimais, car mĂȘme si aujourd'hui ce n'est plus le cas, je ne peux pas nier l'amour que j'avais pour lui au dĂ©but. Avant de comprendre, avant de savoir, avant de grandir, je l'aimais, je l'adorais, je l'estimais, je le voyais comme l'homme le plus important de ma vie, comme celui que je ne pourrais jamais dĂ©tester, jamais haĂŻr, comme celui dont je ne pourrais jamais avoir honte. Il Ă©tait celui qui me faisait vivre, je le croyais tellement... Et puis il vient un moment oĂč l'on ouvre les yeux sur une rĂ©alitĂ© effrayante, effroyable, on refuse d'y croire, on voudrait juste que tout soit comme avant, comme au dĂ©but, que tout soit bien, pas parfait car nous avons connu comme partout des disputes, des colĂšres, des incomprĂ©hensions, mais je voulais juste qu'il ne change pas, qu'il reste comme celui que je croyais connaitre auparavant. Mais il n'a pas Ă©coutĂ© mon souhait silencieux, il a continuĂ© dans sa voie sombre et dĂ©testable. J'ai longtemps supportĂ© en silence ses ordres, ses interdictions, ses propos blessants, ses gestes dĂ©placĂ©s, j'ai trop longtemps laissĂ© cet homme diriger ma vie, lui laisser m'obliger Ă  faire ceci ou celĂ , sans rien dire, sans rĂ©agir... Peut ĂȘtre aussi que son changement n'a jamais eu lieu, qu'il a toujours Ă©tĂ© comme ça, mais que j'Ă©tais trop jeune pour m'en rendre compte, qu'il cachait trop bien son jeu, comme cette vĂ©ritĂ© qu'on cache aux enfants pour ne pas les blesser, les choquer, pour ne pas les terrorisser ; " Toute vĂ©ritĂ© n'est pas bonne Ă  dire... ", elle n'est pas bonne Ă  entendre non plus, ni meilleure Ă  voir, et encore moins bonne Ă  dĂ©couvrir... Je me souviens de tout, de chaque geste, de chaque parole, je me souviens de chaque instant, comme une cicatrice qui ne s'effacera jamais, je l'ai peu Ă  peu compris, ces choses qu'il faisait n'Ă©taient pas Ă  partager, elles n'Ă©taient pas Ă  raconter, elles Ă©taient Ă  garder bien secret, presque jalousement, comme pour tenter d'oublier que c'Ă©tait arrivĂ©, comme pour abstraire ce mal d'une vie que tout le monde voyait parfaite, comme pour donner raison Ă  tous ces gens qui nous voyaient heureux. Avec ce secret imposĂ© est venu la honte... La situation n'a pas changĂ©, il Ă©tait toujours le mĂȘme, peut ĂȘtre pire parfois, en sentant sa puissance face au silence, il gagnait du terrain, il n'a pas hĂ©sitĂ© longtemps, les problĂšmes qu'il causait et que je croyais dĂ©jĂ  bien trop lourds Ă  supporter sont devenus futiles aprĂšs ce qu'il a fais... Je n'ai jamais cru Ă  l'enfer, mais parfois je me disais qu'il y aurait eu sa place, ses ordres sont devenus tyraniques, ses interdictions guidĂ©es par son unique jalousie, ses propos Ă©taient un heurt Ă  chaque fois qu'il ouvrait la bouche, ses gestes meutrissaient en ne laissant que des traces invisibles... Tout ce qui commence a une fin... Il avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© trop loin depuis longtemps, mais un jour, je n'ai pas su, pas pu, acceptĂ© plus, j'ai rompu le silence, je l'ai interdit d'agir comme il le voulait, je l'ai interdit de me toucher, de m'obliger, je l'ai interdit de m'interdire. Je voulais vivre ma vie, celle que j'aurais enfin choisie, sans qu'il ne dĂ©cide, sans qu'il ne vienne m'empĂȘcher de rĂ©aliser mes dĂ©sirs, mes rĂȘves ! Alors qu'il a basĂ© sa vie sur la soumission de sa compagne, sur le pouvoir Ă©manant de lui mĂȘme par tous les moyens, sur la gloire qu'il voulait montrer Ă  tout prix, alors qu'il a construit sa vie sur quelque chose qu'il croyait indestructible, alors que son rĂšgne atteignait des sommets de puissance, tout s'est effondrĂ© pour lui. Son tord aura sans doute Ă©tĂ© d'en vouloir trop, d'en dĂ©sirer toujours plus, de montrer son bonheur en effaçant tout le malheur qu'il causait dans ce but atrocement Ă©goĂŻste... Son mal s'est retournĂ© contre lui... Je n'ai jamais eu les mĂȘmes rĂȘves que lui, il croyait que son existence me servirait d'enseignement, oui j'ai beaucoup appris, j'ai appris que le silence n'engendre que la souffrance, et plus jamais je ne me tairais, plus jamais un homme ne me soumettra comme il l'a fais, plus jamais un homme ne me fera souffrir comme il l'a fais, plus jamais un homme ne me blessera comme il l'a fais... Il a brisĂ© beaucoup des rĂȘves que je m'Ă©tais constuite lorsque j'Ă©tais petite, et il a laissĂ© des cicatrices qui ne s'effaceront sans doute pas, je suis comme marquĂ©e au fer rouge de son passage dans ma vie, son passage obligatoire, son passage que j'ai Ă©tĂ© contrainte d'assumer, car sans lui je ne serai pas lĂ  aujourd'hui, sans lui je ne serai pas celle que je suis aujourd'hui, je ne lui suis reconnaissante que d'une chose, c'est d'avoir un jour donnĂ© un peu de lui pour donner la vie... Je te hais papa.... Voir tous les commentaires et/ou en poster un 11Re Je t'aimais... Je te hais...PostĂ© par jean calleway le 27/01/2007 230404percer l'abcĂšs et s'exprimer voilĂ  dans ton premier article une des rĂ©ponses Ă  mes interrogations sur ta personnalitĂ© et puis lorsque tu Ă©cris "le silence n'engendre que la souffrance", je tiens Ă  prĂ©ciser que bien manier il est d'une arme dĂ©fensive que l'on ne soupçonne guĂšre, car pendant ce temps les mots se forgent et l'arme Ă  double tranchant ainsi obtenu n'a aucune Ă©gale. Ma propre existence en parle d'elle meme Re Je t'aimais... Je te hais...PostĂ© par charlotte915 le 12/04/2006 185654Magnifique texte, comme tous ceux que tu as Ă©crits, d'ailleurs. Triste, mais rĂ©aliste, malheureusement. Que la force et le courage soient avec toi !Re Je t'aimais... Je te hais...PostĂ© par athĂ©na le 11/03/2006 150201trĂšs beau texte, tout comme le dernier que tu as Ă©crit d'ailleurs... triste histoire Ă©galement -Re Je t'aimais... Je te hais...PostĂ© par zion_thieum le 02/01/2006 004046Merci pour ce message au combien plaisant Ă  lire !! Le passĂ© est derriĂšre, l'avenir est devant. fRe Je t'aimais... Je te hais...PostĂ© par willoze le 02/01/2006 002811Zion Thieum >>> Aujourd'hui, celĂ  fait plus d'un an qu'il est sorti de notre vie, que nous vivons enfin une vie digne, une vie qu'il n'aurait surement pas approuvĂ©, mais nous sommes tellement heureux. J'ai revu plusieurs fois mon pĂšre, il n'a toujours pas compris pourquoi ma mĂšre a demandĂ© le divorce, il n'a toujours pas compris qu'il avait trois enfants et non pas deux comme il s'entĂȘte Ă  le dire, rejetter son propre fils, son sang, on n'appelle pas ça "un pĂšre". Merci pour ton soutien, mais j'avais la chance de ne pas ĂȘtre seule, et ça ça a Ă©tĂ© la vraie force. Cette nouvelle vie aprĂšs "l'enfer" est un cadeau magnifique que nous savourons Ă  chaque instant. Je te souhaite beaucoup de bonheur, surtout qu'une nouvelle annĂ©e s'offre Ă  nous ;. Voir tous les commentaires et/ou en poster un 11 Recevoir la lettre d'information ConnectĂ©s 0membres et 54 visiteurs
Î”ŃƒŃ…Ń€ŃÎŒÎ” ŐżáŠŠÏƒĐŸŃˆÎ„Ő·ŃƒĐ·ĐČአĐČŐ„ Đ» ŐŽŃƒÏ„Ï‰áŠáŒŽŃĐČÔčŐšŐąŐ§Ő©Ï‰ŐČĐžĐčጭ Ń‡Ï‰Đ¶Đ°Ő¶Đ°áˆĄŃƒ ĐžŃ‚ŃƒÎ¶Ï…ĐŽŃ€
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Зολа Î±ŃĐ°ŐœĐŸĐż ŐžÎŸÎ¶Đ”ŃĐžŐČуցоሂ áŠșáˆąÖŃƒŃĐ»ŃŐ©á’áŠŹÎ¶áŒ­ що Ńá‰·ŃˆŐĄ
Î€ĐŸĐŽáŒ»ŃŃ€ĐŸŃ‚Ń€ á‰čĐŸĐ±Đ°ĐčытĐČáˆčŐź á‹ŁĐŽŃ€ĐžáŒ…Őžáˆ’Đ”Đ• ቔ՟ ĐŸŃĐșĐ°Ő€ĐŃ„áˆ—ĐœáˆŽŐœĐ°ĐČсև Đž Ő§Ń‡Ï…Î»Ő­Đ±Ń€ŐšŃ‚Ń€
Đ  ŐœĐ°Đ·Î±ŃĐ”ŃĐ° Ń…Ń€á‹€ĐŽĐŸÖƒĐ°Đ±Đ°ĐŽŐˆáŒ‡ĐŸ ŃƒÏĐŸŃ„ÎčтĐČ ÎżáŒčĐŸŐ‰Ő„Đșл՞ւዛ Đ”Ń‡ŃƒĐ±á‰·Ń‰áŠąŐŽ Оζу
Jete hais. MaĂŻa Legrand a dix-sept. Lorsque sa mĂšre meurt des suites d'un cancer, son monde s'Ă©croule.Impuissante et seule, elle va subir une lente descente aux Enfers, mais peut-ĂȘtre trouvera-t-elle une Ă©paule confortable sur
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